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[Test] Redfall : dans le sang et la douleur ?

Alors, ça mord ou c'est mort ?
RedFall

RedFall

Temps de lecture estimé :13 Minutes, 38 Secondes

Redfall a fait couler beaucoup d’encre, avant, et depuis sa sortie. Pour diverses raisons, mais principalement à cause de défauts qui ont été pointés du doigt : le framerate capé à 30 FPS, les soucis d’affichage et d’optimisation, le manque de contenu… Bref, un départ difficile qui a fait du tort au titre. Partant de ce postulat, beaucoup ont été refroidis, sans pour autant voir ce que peut donner le titre en profondeur.

A cet effet, nous vous proposons une visite de Redfall, avec le jeu terminé, essayé en solo, en coop, après plus d’une trentaine d’heures de fusillades et l’équivalent d’une petite bourgade de vampires carbonisés. Verdict.

Une histoire de cultes

La petite île de Redfall menait des jours paisibles, quand soudain une horde de vampires, autrefois cachée dans l’ombre, a décidé d’envahir les lieux. Et les créatures n’ont pas fait les choses à moitié car afin de sortir au gré de leurs envies et leur appétit, ils ont réussi à transformer le soleil, de sorte à ce qu’il ne puisse pas tuer les créatures noctambules. Pour entraver leur invasion, il faudra choisir quel personnage incarner parmi les quatre proposés dans le jeu. Chacun d’entre eux sera bien équipé pour partir à la chasse aux vampires, d’ailleurs chacun est doublé en français, ainsi que tout le jeu qui est 100% localisé, et ça c’est cool. Passons aux présentations :

  • Layla Ellison, une étudiante en génie biomédical qui a développé des pouvoirs télékinétiques après un incident dans un laboratoire de recherche.
  • Devinder Crousley, un enquêteur paranormal, cryptozoologue amateur et inventeur en herbe qui veut découvrir la vérité sur ce qui se passe à Redfall.
  • Remi De La Rosa, une ingénieure de combat qui a servi dans une unité de sauvetage de la marine et qui utilise son esprit brillant et son robot Bribón pour aider les survivants de Redfall.
  • Jacob Boyer, un tireur d’élite ex-militaire qui a été envoyé à Redfall juste avant que le soleil ne s’assombrisse et qui a été infecté par un œil vampirique et un corbeau spectral.

Mais attention, car si nos protagonistes sont bien équipés, le mal prend ici de nombreuses formes : des plus classiques, sortes de Nosferatu belliqueux pouvant se téléporter et vous griffer la tronche, d’autres sont plus exotiques. Par exemple, le saigneur, qui peut vous aspirer le sang à distance (c’est du Redtooth du coup ?) ou la Harponneuse qui peut voler, se téléporter et vous harponner à distance afin de vous ramener près d’elle pour vous bouffer. Cela permet d’avoir une petite variété niveau entités, mais c’est grosso modo 80% de vampires « basiques » et le reste est plus aléatoire.

Redfall

Mention spéciale à la Catastrophe, qui arrive un peu plus tard dans le jeu, avec une mécanique qui peut vous mettre dans le jus : après avoir passé certaines quêtes, une barre de progression rouge augmentera, se remplissant quand vous tuerez des vampires notamment. Une fois remplie, des éclairs rouges tombent du ciel, pouvant vous blesser, et dans cet orage arrive un gros vampire baraqué : notre ami la Cata. Et quel plaisir quand il débarque lorsque vous êtes en rade de munitions et de trousses de soins… Cela met un peu de piquant et surtout, une fois vaincu, vous propose du loot de qualité.

Pour venir à bout des suceurs de sang, il faudra d’abord épuiser leur barre de vie, avant de les empaler avec une arme pourvue d’un pieu par exemple. Il est possible aussi de les pétrifier avec de la lumière UV, les cramer en faisant exploser des trucs dans l’environnement, ou de les tuer avec un lance-pieux.

Les vampires ne seront pas les seuls à semer le trouble : des mercenaires -classique mais efficace- et également des fanatiques n’hésitent pas à vous traquer, pour rendre hommage au culte qu’ils vouent aux suceurs de sang. Certains n’ayant pas hésité à sacrifier leurs proches pour survivre, vous pouvez donc éclater ces collabos sans vergogne… de toute façon, eux ne se priveront pas de vous passer un shampoing au plomb. Le décor est posé, entrons dans le feu de l’action !

Redfall

Red(fall) is dead

Prenons un peu de temps pour parler des personnages plus en profondeur, et aborder le gameplay. Chacun dispose d’une personnalité, de narrations, de compétences et de gameplay différents. Par exemple Remi est assez polyvalente : accompagnée de son robot Bribón, ce dernier peut notamment se déplacer à un endroit donné et attirer les ennemis sur lui. En augmentant le niveau de compétences de son aptitude, il pourra même se régénérer et électrocuter les ennemis proches.

La seconde compétence de Remi : le C4. Balancez un pain de C4 sur le sol, un mur, ou collez-le à distance à un ennemi pour le faire éclater au bon moment d’une pression sur RB. Augmentez son niveau, et vous pourrez créer de véritables feux d’artifice qui vont tout péter en mode bolognaise de vilains. Et enfin, avec son aptitude Mobilisation, Remi fait temporairement apparaître un cercle dans lequel les joueurs peuvent regagner de la vie. Bref, Remi est axée soutien et action offensive, qui n’en fait pas le personnage idéal pour l’infiltration, mais peut nettoyer de petites zones et préserver les joueurs à proximité. Et chacun des personnages dispose également d’un style propre, qui s’adaptera selon vos préférences. A vous de choisir selon que vous préfériez les côtés offensifs, discrets ou défensifs des compétences des différents personnages.

En ce qui concerne les compétences, il est possible d’augmenter leur niveau comme indiqué précédemment, et par ce biais de les rendre plus efficaces. Vous gagnerez un point de compétence par niveau, sachant qu’au moment d’écrire ce test, le niveau max est capé à 40. Ce qui vous permet d’avoir assez de points pour débloquer tout l’arbre de compétences, cela vous permet de choisir tranquillement ce que vous souhaitez spécialiser en premier sans avoir la crainte de louper quelque chose. Notez que vous pouvez également par ce biais augmenter la quantité de munitions maximale par exemple, et d’autres petits bonus qui pourront vous aider dans l’aventure.

Il ne faudra pas compter que sur vos compétences cependant, et aussi être bien armé ! Et pour cela, Redfall vous met à disposition tout un arsenal d’armes, certaines classiques comme les pistolets, fusil mitrailleur, de précision ou à pompe, et d’autres plus efficaces sur les vampires, comme les lampes UV ou les lance-pieux.

Shooter-looter oblige, vous dégoterez les armes dans des contenants variés, ou sur les dépouilles de certains adversaires. Les armes ainsi trouvées auront des raretés diverses, indiquées par des codes couleurs désormais classiques, du plus commun au légendaire (gris/vert/bleu/mauve/jaune) Chaque arme dispose d’un niveau, de statistiques et de bonus aléatoires. A vous de trouver celles qui correspondent le mieux à votre style de jeu, mais aussi qui soient d’un niveau assez élevé pour pouvoir rester efficace contre les vampires, dont le niveau grimpe en même temps que le vôtre.

Niveau équipement, vous récolterez aussi des Vestiges Sanguins, qui augmenteront votre quantité de vie maximale, et apporteront divers bonus, étant aussi sujets aux divers degrés de rareté. Ils se trouvent uniquement dans de petites boîtes, qu’on trouve parfois aléatoirement dans certains niveaux, ou dans les Nids de vampires dont nous parlerons peu après.

Enfin, les Vestiges les plus rares vous permettront aussi d’obtenir des bonus particuliers : les Vestiges de Dieu Vampire. Ils se trouvent sur les gros boss du jeu, et sont de qualité légendaire. Il faut donc toujours garder un œil sur les objets que vous obtenez au fil du jeu, pour garder un équipement offensif et des Vestiges à niveau. Notamment dans les difficultés les plus élevées ; quatre modes sont en effet disponibles, jour, crépuscule, nuit, et éclipse qui se déverrouille après avoir terminé le jeu une première fois. Pour les débutants absolus, le mode jour est de mise, mais pour quiconque a déjà joué à des FPS, passer directement en crépuscule ou nuit. L’expérience de jeu la plus fun viendra plus tard avec le mode éclipse, surtout en coop !

Une map Raide folle ?

On a vu les bases, maintenant place à la pratique ! Dans Redfall, vous avez accès à toute une partie de la ville dès le début du jeu, avec comme point central la caserne de pompiers. Bastion de survivants, c’est aussi là que vous pourrez débuter des quêtes, principales ou secondaires, mais aussi vous ravitailler. Vous y trouverez en effet des munitions, des armes, des outils de crochetage/piratage, à acheter contre de l’argent glané en recyclant le matériel, ou en trouvant des objets, directement convertis en devises. Pensez donc à recycler les armes ou vertiges inutiles dans votre inventaire !

La mission principale permet de découvrir petit à petit le mystère qui se cache derrière l’invasion des vampires, les différentes factions et plein de petites choses, même sur les survivants. Avec dans le tas une paire de twists étonnants, mais globalement les missions se résument à du nettoyage de zone, de la récupération d’objets ou un objectif à activer.

Redfall

Du classique en somme, il en va de même pour les missions secondaires, qui n’ont d’original que les situations dans lesquelles vous allez accomplir votre quête. Cela dit, il est possible de les aborder de manières différentes, en mode bourrin ou en toute discrétion, à distance ou de près : c’est selon les compétences de votre personnage, vos armes, et les situations. Une variété sympa sur le papier, mais les vampires se téléportent très vite sur vous, il faut donc toujours avoir un plan B au cas où, et adapter votre arsenal. Vous pouvez porter jusqu’à trois armes en même temps et cycler entre les trois pour vous adapter.

Une fois sorti de votre petit cocon sécurisé, à vous les rues de Redfall, infestées de vampires et de vilains prêts à tirer à vue… En combat, vous allez forcément prendre des coups, mais il est possible de se soigner avec des trousses de soin. Vous pourrez en porter une quantité limitée, et cela restaurera une partie de votre vie après avoir maintenu la croix directionnelle vers le bas quelques secondes. Pensez donc à vous planquer pendant ce temps !

Notez qu’au tout début du jeu, il n’est pas facile de trouver beaucoup d’ennemis, à part quelques packs de mercenaires ou vampires par-ci par-là… Sachant que parfois ils se frittent entre eux, c’est pratique ! Il faut atteindre un certain point dans le jeu pour avoir accès à toute la panoplie de lieux et d’ennemis.

En effet, à partir d’un certain point, vous allez avoir accès aux nids de vampires à nettoyer, qui font apparaître une zone sur la map dans laquelle tous les vampires sont plus costauds. Il faut trouver une porte spéciale dans cette zone, et rentrer dans le nid pour détruire le cœur du nid et libérer la zone. Ces nids apparaissent aléatoirement et permettent de récupérer des Vestiges parfois intéressants, et aussi de glaner une quantité d’expérience non négligeable.

Autre évènement qui se débloque au fil de l’aventure : les Cataclysmes qui arriveront pour vous défoncer une fois une certaine quantité de vampires éliminés, et en le détruisant, vous aurez une arme légendaire en récompense ! Il faut dire que l’IA est globalement assez agressive mais pas forcément bien maligne, elle se contente souvent de bourriner à vue… Il suffit de vous planquer un peu si possible et de dégommer tout ce qui bouge.

Lors de vos promenades en ville, vous tomberez sur des amas de fumée rouge, toxique mais qu’il est possible de disperser. Pour cela, il faut vous armer d’une arme à UV, et trouver une sorte de statue, qui est en fait un vampire insensible aux balles. Visez, allumez, explosez : voilà, la route est dégagée !

Vous allez aussi trouver des points de contrôle, utiles pour voyager rapidement depuis votre carte, et aussi des refuges, qu’il faudra activer avec un générateur souvent proche. Ces refuges sont souvent bien gardés, il faudra nettoyer la zone avant d’accéder à ce petit espace qui renferme une caisse de munitions, quelques trousses de soin et surtout des missions propres aux refuges. L’une d’entre elles permet d’aller vaincre un Lieutenant vampire, qui sera bien souvent accompagné de petits potes. Ces mini boss sont essentiels à votre aventure, car ils lâchent un crâne qui sera nécessaire pour atteindre le premier gros boss. D’ailleurs on ne spoilera pas sur ces boss, mais ils sont massifs, sans être non plus impossibles. Il faut trouver le bon pattern et prendre son temps pour voir comment agir de la façon la plus efficace.

Tiens d’ailleurs, quelque chose avait fait tilt en jouant dans les espaces instanciés, comme les boss ou les nids de vampires. Ils se trouvent dans une sorte de dimension parallèle, bon, jusque-là pourquoi pas. Mais dans cette dimension, on retrouve tout ce qu’il faut pour bousiller les vampires : des armes, du feu… Bref, de quoi exposer leurs points faibles. Alors oui, on est dans un jeu c’est normal… Cela dit c’est un peu con de la part des vampires. Perso si je devais faire un espace fermé pour pas qu’on vienne casser mes plans, j’éviterai de mettre à disposition des gens de quoi me faire éclater la tête… Mais bon ça encore, ça passe, car Redfall a des soucis un peu plus profonds que ce genre de considération.

Le mal qui ronge

C’est indéniable : Redfall des soucis. C’est un constat fait au moment d’écrire ce test, sujet à modification, en tout cas on l’espère fortement. Sur l’aspect technique, commençons par le moins gênant mais pas folichon cap des 30 FPS. Même si à terme cela devrait être revu et corrigé, on sent que le jeu en a sous le coude et ce bridage fait du tort à l’action. Non pas qu’elle soit mauvaise, les gunfights étant assez intéressants en terme de rendu, mais elle manque du petit punch et de la fluidité qui fait la différence.

Sur Series S, le jeu a tendance à galérer avec l’affichage des textures, que ce soit les armes, les paysages ou les éléments, parfois ces clivages cassent l’immersion, jusqu’aux effets d’éclairages affichant parfois un tramage assez crade.

Mais le gros des soucis de Redfall vient de son côté aléatoire au niveau des bugs. Nous avons constaté parfois des duplications de PNJ, voire carrément un second petit robot pour Remi qui est apparu pendant toute une session (les deux suivaient le personnage, mais un seul était fonctionnel) Ou encore se retrouver coincé entre deux rochers en ayant voulu tenter de sauter dessus. Bof bof…

Le pire problème venant des crash intempestifs du jeu pour des raisons aléatoires : aller dans le menu, ouvrir un coffre, terminer une mission… Et paf, d’un coup retour au dashboard. C’est le plus rageant des problèmes, car même si le jeu a sauvegardé peu de temps avant, cela implique parfois de se retaper une zone entière à nettoyer, ce qui est parfois fastidieux en mode éclipse. Pire encore : cela arrive parfois en coopération, ce qui casse la bonne ambiance de ce mode.

Et c’est dommage, car dans nos sessions, malgré ces bugs, on sent le potentiel de fun derrière le titre. En coopération, jusqu’à 4 chasseurs, il y a matière à s’amuser et découvrir le jeu, essayer de trouver le meilleur matos, ou tenter de tout faire dans les modes les plus difficiles… Mais pour l’instant, le contenu de Redfall n’incite pas à relancer le jeu des heures pour plusieurs runs.

Outre les bugs, le gros du contenu se trouve dans les missions, et les nids de vampire ou les cataclysmes sont les seules sources annexes de matériel ou de challenge hors histoire. Ou éventuellement, la recherche des 100 verrous de caveau à trouver partout dans le jeu, qui reste un moyen d’augmenter virtuellement la durée de vie du titre. En difficulté moyenne, le jeu a pris environ 25 heures pour se boucler, en y allant tranquillement, mais comptez le double facilement pour tout dégoter et surtout pour faire le jeu avec chacun de vos amis… Car la progression des missions n’est valable que pour l’hôte ! Par exemple j’invite les amis dans ma partie, j’aurai validé les missions, les points sur la carte etc… Mais eux non, il faudra que les amis refassent chacun sur leur partie ces missions, en solo ou coop. Cela dit, si vous avez un ami de haut niveau et que vous l’invitez dans votre partie, ça ira très vite : le niveau des ennemis est indexé sur le niveau de l’hôte. Pratique pour gagner du temps, mais pas terrible si vous cherchez du challenge…

Une direction particulière, qui permet en effet de multiplier les heures de jeu, mais cela reste de la redite. Cela dit, les niveaux, points de compétences, armes, vestiges et verrous de caveau sont toujours conservés, vous retrouverez tout ça en revenant dans votre partie.

Il est nécessaire de faire ce point car c’est une réalité : Redfall en l’état est jouable, certes, mais avec baucoup de problèmes. Il ne faut pas non plus en oublier ses qualités, car il en a. Le jeu dispose en effet d’un certain capital fun, surtout en coop. La variété des armes, des compétences et des situations peuvent donner lieu à des parties bien fun, surtout en mode éclipse qui propose un challenge plus intéressant.

Si techniquement le jeu peine dans ses détails, il a quand même une bonne gueule, notamment dans sa seconde partie, ou dans les espaces torturés des niveaux de boss ou des nids de vampires. Certains paysages sont très jolis également, surtout quand on arrive en surplomb, avec ces vagues arrêtées de la mer, ou certains endroits qui de jour sont pittoresques, et pourtant inspirent peu confiance la nuit tombée… en termes d’action, le gunplay est quand même pas mal foutu, et nous n’avons pas rencontré de soucis niveau réseau du côté du lag. C’est tout ou rien, ça marche ou ça crashe, mais quand ça fonctionne, l’action est immédiate pour tout le monde.

A l’instar de jeux comme No Man’s Sky, Fallout 76 ou même Sea of Thieves à leurs débuts, Redfall connait un démarrage difficile. Cela dit, on sent un potentiel derrière tous ces écueils, et la balle est dans le camp du développeur désormais : optimiser et enrichir le contenu sur des bases qui sont prometteuses, et fournir un jeu qui sera à la hauteur des attentes des joueurs en mal d’action. Car NON : Redfall n’est pas mauvais dans le fond. Il n’est pas bon dans son état actuel, mais il est jouable, finissable, mais fait partie de ces titres atteints du mal qui touche énormément de jeux depuis quelques années : le manque de finition. N’oublions pas que derrière le jeu se trouvent des êtres humains, pas juste une marque ou un logo. En tant que joueurs, nous sommes en droit d’attendre de la qualité des titres sur lesquels nous dépensons de l’argent et passons du temps, c’est bien légitime. Mais pour autant, n’oublions pas que le jeu vidéo reste un loisir, qui devrait plutôt nous inciter à pointer ce qu’il faut améliorer auprès de ceux dont c’est le travail, plutôt que de brandir des fourches pour un but qui ne mérite pas certaines véhémences grotesques. Patientons, et voyons si le vampire contre-attaque…

Plus

  • Des personnages aux compétences variées
  • Un lore sympa si on s’y penche
  • La variété des armes
  • La difficulté adaptée à chacun
  • Pas de lags notés en coop
  • Gunplay sympa
  • Durée de vie correcte
  • Ambiance sonore sympa
  • De jolis panoramas
  • Les nids de vampires et catastrophes

Moins

  • Gros manque de finition
  • Les bugs encore présents
  • Manque de variété
  • Pas innovant niveau missions
  • Le fameux cap des 30 FPS
  • L’IA aux fraises

Le jeu a été testé depuis une version commerciale fournie par l’éditeur

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