Illustration visuelle pour Resident Evil Requiem

[Preview] Resident Evil Requiem : Le retour du vrai survival horror

Temps de lecture estimé :2 Minutes, 13 Secondes

Resident Evil Requiem, prévu pour février 2026, marque un tournant dans la saga culte de Capcom. Exit les zombies en pagaille et les fusillades frénétiques : place à une terreur silencieuse, psychologique, presque intime. On a testé la démo à la Gamescom 2025… et on n’en est pas ressorti indemne.

Raccoon City, le retour maléfique…

Vous incarnez Grace Ashcroft, analyste du FBI, envoyée dans un hôtel abandonné suite à une mort suspecte. Ce lieu, plongé dans l’obscurité, cache un monstre terrifiant. L’histoire nous ramène à Raccoon City, ville emblématique de la franchise, ravagée en 1998. Un retour aux sources, mais avec une approche radicalement différente.

Entre vulnérabilité et immersion

Dans Resident Evil Requiem, la lumière n’est pas simplement un élément d’ambiance : elle devient une véritable arme de survie. Grace Ashcroft, l’héroïne du jeu, ne dispose que d’un briquet pour percer l’obscurité oppressante de l’hôtel abandonné où elle enquête. Ce petit halo de lumière devient crucial pour repousser une menace invisible qui rôde dans les ténèbres. L’environnement est conçu pour que chaque zone sombre soit une source potentielle de danger, et chaque éclairage, une bouffée d’oxygène.

FPS ou TPS : A vous de choisir…

Le jeu propose une alternance libre entre deux perspectives : la vue subjective (FPS) et la vue à la troisième personne (TPS). Ce choix n’est pas qu’esthétique : il influence directement le comportement de Grace. En TPS, elle avance prudemment, trébuche parfois, et semble plus vulnérable. En FPS, elle court plus vite, respire bruyamment dans les couloirs étroits, et sa panique devient palpable. Cette dualité renforce l’immersion et permet au joueur d’adapter sa stratégie en fonction de la situation.

Soyez curieux, soyez énigmatiques ?

Côté gameplay, Requiem abandonne les mécaniques de combat traditionnelles. Il n’y a ni fusils à pompe ni grenades. À la place, le joueur doit explorer minutieusement, résoudre des énigmes environnementales, et utiliser des objets du décor pour progresser ou se défendre. Une bouteille vide peut servir à détourner l’attention, un fusible à rétablir le courant, une clé à ouvrir une porte vers un nouveau cauchemar.

Un seul ennemi… mais suffisant !

Mais ce qui rend l’expérience réellement glaçante, c’est la présence d’un seul et unique ennemi : une créature féminine, silencieuse, aux yeux globuleux, qui vous traque sans relâche. Elle surgit sans prévenir, descend du plafond, se faufile dans les ombres… et ne laisse aucun répit. Contrairement aux précédents opus, il n’y a pas de hordes de zombies. La peur ici naît du silence, de l’isolement, et de l’imprévisibilité.

Nos premières impressions :

On relèvera une ambiance ultra oppressante, même sans ennemis visibles. Saupoudré d’une immersion émotionnelle grâce à une héroïne expressive et d’un mameplay adaptatif : FPS pour la peur viscérale, TPS pour la stratégie. Ce Resident Evil Requiem ne cherche pas à plaire à tout le monde. Il veut faire peur, opprimer, désorienter. Et il le fait avec brio. Si vous avez grandi avec les couloirs du manoir Spencer ou les ruelles de Raccoon City, ce nouvel opus pourrait bien être le chant du cygne que vous attendiez.

Retrouvez Resindent Evil Requiem plus en détail sur le site de CAPCOM : Resident Evil Requiem|CAPCOM et sur la page Steal du jeu : Resident Evil Requiem sur Steam

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