[Test] Whisper Mountain Outbreak : un survival horror qui murmure déjà fort !

Whisper Mountain Outbreak est un survival horror isométrique signé Toge Productions, disponible en early access sur Steam depuis le 11 août 2025. Ce jeu, qui sent bon les vibes de Resident Evil avec une touche de roguelike, m’a franchement séduit par son contenu déjà solide. En solo ou en coop jusqu’à quatre joueurs, vous explorez le Mont Bisik, un lieu maudit où un brouillard étrange et des monstres flippants vous attendent. Alors, prêt à affronter les murmures ?

Une ambiance qui fout les jetons

L’histoire se déroule en 1998. Une opération minière sur le Mont Bisik libère une horreur ancienne, déclenchant une malédiction. Un brouillard mystérieux envahit la zone, accompagné de murmures et de créatures terrifiantes. Vous jouez un agent du B.R.I.M., une organisation secrète chargée d’éliminer les menaces paranormales. Votre but ? Survivre, résoudre des énigmes et trouver un moyen de fuir ce cauchemar. L’ambiance est pesante, avec des graphismes 2.5D en pixel art qui mélangent nostalgie et tension. Les environnements, entre brouillard épais et couloirs étroits, vous tiennent constamment en haleine.

Un gameplay qui mixe tension et stratégie

Dans Whisper Mountain Outbreak, chaque partie commence par le choix d’une classe parmi trois proposées aléatoirement (sur six au total). Chaque classe, comme le Sprinter ou le Médecin, offre des compétences uniques, ce qui booste la rejouabilité. Vous explorez des lieux abandonnés, cherchez des ressources et affrontez des hordes de monstres. Les combats, avec des armes de mêlée ou à distance, demandent de gérer vos munitions avec soin. En plus, vous devez résoudre des énigmes pour déverrouiller des portes ou trouver des clés. Les puzzles sont bien pensés, jamais trop tordus, et s’intègrent parfaitement à l’exploration.

Le gros plus ? Le côté coop. Jouer avec des potes via le chat vocal de proximité, c’est immersif ! Vous partagez des ressources, sauvez vos coéquipiers à terre et planifiez vos moves. En solo, le jeu reste prenant, mais un peu plus corsé. Chaque mission, d’une durée de 10 à 30 minutes, vous ramène à la base pour crafter des objets ou améliorer vos compétences. Bref, le gameplay est fluide, stressant juste ce qu’il faut, et déjà bien rodé pour un early access.

Des promesses pour l’avenir

Pour un jeu en early, Whisper Mountain Outbreak pose des bases solides. Les huit missions actuelles, situées dans des lieux comme une clinique ou un marché, offrent une bonne dose de contenu. Les développeurs promettent d’ajouter des éléments de progression, plus d’ennemis, d’équipements et d’histoires. Cependant, quelques points coincent. L’absence de système de sauvegarde est frustrante : une session de 2-3 heures sans pouvoir sauvegarder, ça peut décourager. Mais avec les retours de la communauté, Toge Productions semble motivé à peaufiner tout ça. Un titre encourageant à suivre de très près.