Découvrez notre test de Super Monkey ball Banana Rumble. Dernier opus de la célèbre licence de Sega disponible sur Nintendo Switch depuis le 25 juin.
Un jeu qui va vous filer la banane
Avec un gameplay accessible et un contenu assez dense, Super Monkey Ball Banana Rumble est un titre aussi amusant que prenant. En solo comme entre amis, vous ne vereez pas le temps passer au fil des niveaux parfois retors et des soirées fun en multi. Un titre à emmener partout et qui vous réserve de belles activités pour l’été.
Points positifs
- Le concept addictif
- Une durée de vie conséquente
- La diversité des niveaux
- Visuellement mignon
- La prise en main
Points négatifs
- Un mode multi perfectible
- Quelques niveaux assez solides
Test réalisé sur Nintendo Switch à partir d’une version presse fournie par l’éditeur que nous remercions.
Banana
Ayant fait ses débuts sur Nintendo Game Cube au début des années 2000, le concept du jeu n’a jamais vraiment changé même si on a vu apparaître quelques nouveautés. Nous débutons l’aventure dans la peau d’AiAi, une jeune singe profitant du soleil au bord de la plage et s’apprêtant à déguster une savoureuse banane. Pas de bol, l’un de ses congénères Palette aura la bonne idée de vous la dérober avant de passer à table, débute alors le premier niveau faisant office de tutoriel. Une entré en matière amusante permettant d’apprendre les bases du métier mais aussi l’existence d’une banane légendaire qui marquera vos papilles à tout jamais…
Si vous n’avez jamais tenté l’expérience, sachez qu’il ne s’agit pas d’un simple jeu de plateforme. En effet, notre gentil singe va être enfermé dans une boule et c’est le plateau faisant office de parcours que vous allez contrôler. Une idée surprenante mas qui fait le sel de la licence depuis des années. Le but est simple : orienter le plateau pour prendre la bonne direction tout en gagant de la vitesse afin d’atteindre la fin du parkour sans chuter (ce qui ne sera pas une promenade de santé).
Anatomie d’une chute
Si vous espérez parcourir les 200 niveaux répartis sur dix mondes en ligne droite, abandonnez tout espoir! En effet au dela de la précision dont vous devrez faire preuve, de nombreux pièges seront de la partie pour vous barrer la route. De plus, les maps sont assez variées allant d’une arène à des parcours étroits parfois suspsendus dans le vide. La diversité des niveaux est bien pensée ce qui permet de ne pas se lasser même si vos nerfs seront souvent mis à rude épreuve. De plus, vous dispoerez d’un temps limité (60 secondes) pour temriner le niveau sachant que la moindre chute vous ramènera à la case départ. De plus, une fois les niveaux de base terminés, vous aurez accès aux niveaux EX qui offriront une véritable difficulté. Si vous avez peur de briser la switch, arrêtez vous à la première partie. Pour ma part je ne compte plus les nuits endiablées passées pour y arriver. Mais sachez que quelques petits bonus seront bien utiles pour vous y aider:
- Rewind : permet de revenir en arrière et de reprendre une section difficile à l’infini.
- Check point : permet de revenir à un point précis, souvent avant un passage difficile
- Fantôme : un fantôme vous indique la meilleure solution pour passer le niveau
- Marquer comme terminer : passe le niveau
Pour se faire, vous aurez droit à plusieurs personnages: AiAi, MeeMee, Baby, GonGon, YanYan, Doctor, Palette. D’autres seront à débloquer ensuite et sont également disponible via le DLC SEGA Pass comme Axel de Crazy Taxi ou encore Beat de Jet Set Radio. Ils disposent tous de leur propres compétences comme l’utilisation d’un dash en appuyant sur la touche B mais aussi de ses propres critères (accélération, vitesse, freinage et poids). Libre à vous de les étudier durant vos premières parties qui seront plus simples avant de découvrir que c’est l’enfer qui vous attend et que ce dernier est parsemé de jolies bananes.
Les rois du stick
Côté prise en main, nous n’avons pas rencontré de grande difficulté de prime abord. Pas de caméra capricieuse, les joysticks de la switch répondent facilement. Un bon point qui aurait pu à contrario compliquer la tâche. Cependant, il nous aura fallu bon nombre de tentatives sur certains niveaux afin d’en comprendre l’architecture.
Au delà du temps limité, vous pourrez également tenter de remplir différents objectifs secondaires:
- Terminer le niveau dans un temps limité
- Ramassser un certain nombre de bananes
- Trouver la banane dorée du niveau
Le genre de défi qui me plaît et n’est aps sans me rappeler les (trop) nombreuses heures passées sur Crash Bandicoot. Un concept bien pensé et qui offre une certaine rejouabilité mais mis à part el challenge à quoi ça sert? Réussir ses objectifs vous donnera un certain nombre de “points banane”. Ces derniers vous permettront d’obtenir divers ojets cosmétiques (pas moins de 300 en boutique). De quoi frimer tout en haut du bananier même entre potes.
Tu casses les boules
En famille comme entre amis, Super Monkey Ball propose aussi des fonctionnalités multijoueurs. Nous n’avons pas eu le loisir de tout tester parfois par manque de joueurs sur les modes onlines mais voici ce qu’il y a au menu:
- ,Course : arrivez le premier dans des niveaux qui deviennent de plus en plus simples pour les retardataires.
- Chasse à la banane : récoltez le plus de banane dans les niveau.
- Ba-boom : passez la bombe pour ne plus l’avoir avant la fin du temps imparti.
- Goal rush : passez à travers des anneaux pour accumuler des points en équipe.
- Robot smash : Fracassez du robot et effectuez le plus de point. Plus vous allez vite plus vous visez la tête mieux c’est !
Même en local, ces différents modes permettent de passer de bons moments. Nous avons passé quelques heures sur Goal Rush, Ba-boom et la chasse à la banane dont nous gardons de bons souvenirs. Seul ombre au tableau, la baisse de résolution qui vient probablement des limitations techniques de la console.
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