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DiagnosedWhity
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[Test] PowerWash Simulator 2 : le retour du jet qui fait du bien
Temps de lecture estimé :5 Minutes, 28 Secondes
Avec la quantité énorme de DLC dont disposait PowerWash Simulator, y compris des sagas vraiment inattendues comme Warhammer, beaucoup d’entre nous se demandaient si une deuxième partie était vraiment nécessaire. Après avoir passé de nombreuses heures devant ce nouvel opus de la saga, au sein de la rédaction, nous sommes en mesure d’affirmer que nous avions besoin de cette nouvelle édition, même si nous ne le savions pas vraiment à la base.
Préparons l’équipement et le détergent, nous ne manquerons pas d’eau pour rincer ce test. C’est parti pour PowerWash Simulator 2 : le seul FPS où ton arme, c’est un jet d’eau !
Les +
- Une nouvelle version améliorée
- Les nouveaux outils de lavage
- La fonctionnalité d'écran partagé
Les –
- Les innovations ne sont pas visibles dans la première heure de jeu
- Quelque peu répétitif
Bienvenue à Caldera : là où même les complots ont besoin d’un bon rinçage.
La politique et les mystères du comté de Caldera, qui nécessite beaucoup de nettoyage, amèneront le joueur à franchir les frontières de Muckingham et à explorer certains travaux dans les zones environnantes de la ville : Sponge Valley, Power Falls ou bien encore Lubri City.
Quant à l’histoire du jeu, même si elle n’est pas du tout pertinente, c’est génial qu’elle soit là et qu’elle se déroule quelques années après les événements du premier titre. Pour les adeptes qui y ont joué de longues heures sur le premier opus, se souviendront de la mission du triton qui tire un rayon de sa tête après avoir terminé le lavage. Cette statue et l’absence de ce rayon seront les fils conducteurs de toutes les missions.

Une intrigue inutile mais attachante… comme un chaton dans une bassine.
Techniquement, il n’y a pas de saut qualitatif majeur par rapport au titre précédent, mais il est important de souligner que graphiquement, le titre a fait peau neuve et que les designs, employés par les développeurs de FuturLab, sont bien meilleurs. Même la saleté, sans pour autant perdre ces traits distinctifs qui s’éloignent du réalisme, bien que cela se limite exclusivement aux personnages et aux animaux qui apparaissent dans l’aventure, principalement les chatons qui vivent dans la base (oui, on peut les caresser et ils ronronnent même).
Le bande-son est relaxant, non seulement grâce aux rares mélodies qui apparaissent, mais aussi grâce à l’atmosphère créée par les bruits des oiseaux travaillant à l’extérieur, le moteur constant du nettoyeur haute pression et l’impact de l’eau sur différentes surfaces à différentes intensités. Néanmoins (et on ne vise pas Voldemort), notre rédaction est unanime sur le fait que ce type de jeu est plus appréciable avec un podcast en fond sonore (comme celui de Tu Peux Pas Test, dont on assume ce placement subtilement glissé ici) ou en écoutant un album de son groupe préféré.
La localisation permet à l’interface et aux dialogues, qui sont reproduits sous forme de messages texte, d’être entièrement en Français (ndlr : d’autres langues sont également disponible). Comme c’est souvent le cas dans ce type de productions à petit budget, le titre ne dispose pas de voix dans aucune langue.

C’est propre, c’est mignon, et les chats ronronnent. Que demande le peuple ?
L’objectif du jeu reste aussi simple que direct, comme dans le volet précédent. Le joueur devra s’occuper de nombreuses tâches de nettoyage, allant des auvents aux toilettes publiques, en passant par des objets extravagants comme une voiture en forme de chien utilisée dans un film, et parmi beaucoup d’autres choses.
Chaque tâche a sa propre complexité, mais rien n’est impossible, et chaque section, aussi minuscule soit-elle, de l’objet à nettoyer dispose d’une barre de progression qui indique ce qu’il reste à faire pour qu’il soit impeccable et ainsi terminer la mission de la meilleure façon possible.
PowerWash Simulator 2 comprend un mode campagne qui raconte les différences entre le protagoniste et le maire de la ville et ses affaires louches, mais tout cela est secondaire et n’empêche en aucun cas de progresser vers une mission ou une autre. De plus, tous les travaux réalisés dans le cadre de la campagne peuvent être refaits en mode libre, car nettoyer est toujours un plaisir, n’est-ce pas ?

Zen, sale, addictif. Le seul jeu où procrastiner, c’est productif.
Si vous avez déjà joué au premier titre, vous constaterez cette fois-ci que les commandes sont beaucoup plus intuitives, que ce soit pour changer le type de têtes de la machine à laver ou pour échanger les types de machines à laver. Parmi les nouveautés, on trouve également de nouveaux outils qui facilitent le travail, le plus remarquable étant un accessoire rond dit « la laveuse de sol », semblable à une douche, qui permet de nettoyer beaucoup plus facilement de grandes surfaces grâce à sa puissance et à la zone de lavage qu’il couvre.
Au-delà des nouveaux outils, les vedettes de cette suite sont les objets et les lieux qui nécessitent un nettoyage intensif. Ce qui pourrait nous surprendre, ce sont les niveaux qui nécéssite d’autres étapes pour continuer dans longitivité. Par exemple, les toilettes publiques qui comportent différentes étapes. Au début, il n’est possible de laver que le plafond et certaines parties extérieures, mais ensuite, la structure s’élève pour continuer à rincer d’autres sections et, une fois cette partie terminée, on passe à l’intérieur des toilettes, qui est un autre spectacle de saleté.
D’autres lieux présentent également différentes étapes qui peuvent être abordées à tout moment. Autre exemple à vous décrire, dans un camping, vous pouvez nettoyer les tables et le coin feu avant la cabane principale. Il en va de même pour une sorte de bouilloire géante ou pour dégager une station-service qui semble avoir été ensevelie sous la boue.

Lavage intensif = monnaie sonnante. Et déco de base, parce que pourquoi pas.
De nombreuses missions comportent différents niveaux de hauteur, il sera donc également nécessaire d’utiliser des gadgets permettant d’atteindre des endroits qui semblent inaccessibles. Pour cela, des échelles de différentes tailles, des plates-formes fixes, une sorte d’ascenseur pneumatique qui peut être commandé en fonction de la hauteur exacte requise et même un siège suspendu sont mis à disposition.
Chaque travail génère un revenu important qui se traduit en points de lavage et en argent. Ces deux devises peuvent être échangées contre de meilleurs outils, des éléments cosmétiques pour l’uniforme du joueur, le camion de l’entreprise, le casque et d’autres articles, mais aussi pour acheter des meubles et ainsi décorer la base à votre guise.

Plus de missions, plus de boue, plus de fun. Le premier est rincé.
FutureLab a pris note des besoins de ses joueurs et a inclus dans cette nouvelle édition la possibilité de jouer avec un ami en mode écran partagé, ainsi que de partager la progression de la campagne dans un excellent mode en ligne qui permet de passer des heures et des heures à gaspiller de l’eau. Nous savons que Greta Thunberg ne sera pas enchantée par ce simulateur.
PowerWash Simulator 2 propose, à la base, 38 missions auxquelles s’ajoutent les DLC à venir, mais même sans ceux-ci, le temps que vous passerez à nettoyer est absurde. À titre de comparaison, le titre original comptait 20 emplacements et 17 missions supplémentaires en mode carrière. Le contenu téléchargeable, gratuit et payant, s’élevait à 39 missions, du moins au moment où nous écrivons ces lignes.
En conclusion :
PowerWash Simulator 2 reprend tout ce qui a fait le succès du premier opus et l’améliore avec de petites touches que les fans du jeu original apprécieront et qui seront très utiles à ceux qui s’aventurent dans le titre. Il est rare de proposer un simulateur où la seule chose à faire est de laver de grandes surfaces, mais on ne saurait trop insister sur l’intérêt de ce jeu pour passer quelques heures de détente, et croyez nous, ce temps augmentera peu à peu à mesure que le titre vous captivera sans ménagement, ce qu’il fera sans aucun doute.
Le jeu est disponible depuis le 23 octobre et n’oubliez pas qu’il fait partie du catalogue GamePass, vous pouvez donc l’essayer sans frais supplémentaires si vous disposez d’un abonnement actif au service.
Retrouvez toutes les informations complémentaires de PowerWash Simulator 2 sur le site officiel de FuturLab : https://www.futurlab.co.uk/games/powerwash-simulator-2
Nous remercions infiniment et chaleureusement FuturLab pour la clé du jeu fourni pour ce test.


