[Test] Paradise Lost: Un retour sur l’histoire de la 1ere guerre?

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Le walking game sur la première guerre mondiale : c’est Paradise Lost

Mais c’est quoi Paradise Lost ?

Ici, nous atterrissons dans un univers totalement immersif. Les lieux visités sont très cloisonnés, mais l’ambiance qui s’en dégage est assez lourde et nous plonge immédiatement dans le jeu. Au gré des documents trouvés, nous en apprenons plus sur le quotidien des hommes et femmes. D’ailleurs, chose très étrange, nous sommes seuls dans le jeu, nulle âme humaine à l’horizon, et aucun corps non plus. Cela est bizarre, d’autant plus que nous verrons des témoignages d’une vie passée. Des valises, des affaires dispersées ici et là, des documents…

Paradise Lost

Qui sommes-nous?

Nous incarnons Szymon. Un jeune garçon qui décide de partir à la recherche de réponses suite au décès de sa mère. En effet, il a en sa possession une vieille photographie, de sa défunte mère en compagnie d’un mystérieux homme, prise apparemment dans le bunker numéro 4. Notre jeune héros décide alors de braver cet environnement chaotique qui l’entoure pour retrouver cet endroit et peut être des réponses quant à l’identité de cet homme.

Paradise Lost

Sommes-nous réellement seul?

Et non, une voix accompagne le joueur, une jeune femme, Ewa. On ne sait rien d’elle, pourtant sa voix résonnera dans les micros et enceintes parsemant les murs du bunker. Cette voix nous guidera, dans un mystérieux bunker rétro futuriste, dernier grand refuge d’une partie de l’humanité, enfin pour ceux ayant été apte à vivre dans cet endroit, celui-ci ayant été conçu par les nazis.

Une aventure mitigée

Même si le jeu propose différentes fins, il nous sera bien difficile de revenir dans l’aventure. La faute a un personnage très lent, une sensation de balancement de gauche à droite à chacun de ses pas et d’un son exagéré au niveau de ses derniers. C’est bien simple, lorsque nous marchons, on a l’impression que le personnage est en surpoids tant le bruit des pas retentit, et pourtant nous incarnons simplement un jeune garçon. Autre chose qui fâche et qui nous empêchera de recommencer, plusieurs bugs venant entacher l’aventure.
De plus, on a des fois le texte qui va bug sans raison avec obligation de redémarrer la console, des murs invisibles, des valises au sol ou autre objets ou l’on doit les contournés pour avancer alors que l’on pourrait juste marcher dessus sauf que je personnage prend cela comme une colonne de 3 mètres de haut. Bien que les graphismes soit quelque peu flous par moments voire même assez grossier, le jeu reste beau. D’ailleurs, je vous conseille de jouer à ce jeu avec un bon casque sur les oreilles. La bande son garanti ici une excellente immersion avec des sons d’ambiances dans l’ensemble bien travaillés, mais surtout pour sa musique. Bien que rare, cette dernière, lorsqu’elle sera présente, pourra éventuellement vous procurer quelques frissons dans ses brefs moments d’envolées lyriques rappelant alors des films.

Fondateur de Game Cover. Amoureux de JRPG, des MMO ou des jeux de combats en tout genre. Vous me retrouverez pour des sessions lives sur twitch, des tests ainsi que certaines chroniques.

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