[Test] Mika and the witch’s mountain : balais magique pour… postière ?

Un jeu en Cel Shading qui fait remarquablement son effet.

Le Cel Shading, une méthode graphique utilisée pour rendre « mignon » certain jeux, et bien maîtrisé avec le très connu Legend of Zelda : Windwaker.
Dans Mika and the witch’s mountain, nous allons retrouver cette patte, non sans nous rappeler ce fameux Legend of Zelda. Monter sur votre balais, les livraisons n’attendent pas !

Amazing Deliveries : Chronopost regarde votre CV

L’histoire de Mika va vous rappeler directement celle de Kiki la petite sorcière, des studios Ghibli tant les scénarios sont similaires.

Mika, apprentie sorcière, veut intégrer l’école de sorcellerie située sur le mont Gaun tenue par la sorcière Olagari. Cependant, Olagari ne l’entend pas de cette oreille, et décide de jeter Mika et son balais du haut de la montagne. Notre petite sorcière s’en sort miraculeusement, mais pas son balais. La commence le jeu. Il vous faudra réparer votre balais grâce à la paye que vous allez recevoir de la part de votre patron.

Dans ce simulateur de Chrono Post, vous l’aurez compris, vous devrez apportez divers colis en faisant attention à ne pas les abimer, et ce, dans un délais imparti. En effet, certains éléments du jeu vous rendront la tâche moins facile qu’il n’y parait, et vous devrez par exemple ne pas mouiller le colis, ne pas le cogner, ne pas le brûler, etc.

En améliorant votre balais, vous pourrez même prendre des courants de vent ici et là pour aller toujours plus loin et plus haut, vous apportant de nouvelles opportunités de livraisons. Malheureusement, la maniabilité est un peu capricieuse. Vous allez vouloir faire certain mouvement qui ne se feront pas sans mal.

Ce qui va rallonger la durée de vie est tout ce qui est annexe : livraison d’objets mystères et récolte de collectables, qui vous permettront d’en savoir plus sur les habitants, voir même de changer l’apparence de Mika.

Le mot de la fin

La richesse du jeu va donc allez plus loin que la livraison de colis : vous en apprendrez davantage sur les colis que vous livrez, mais également sur l’histoire des habitants et leur relation. Mika and the witch’s mountain, sans pour autant être le jeu de l’année, vous promet de belles petites heures de jeux. Le jeu fait certes, moins de 10 heures, mais vous vous retrouverez à vous accrocher à cette (très) petite île et leurs habitants. Tout est fait pour être détendu, ne pas se prendre la tête. Vous aurez l’impression de jouer tout en regardant un film, vous proposant un moment plaisant.

L’équipe remercie l’éditeur qui nous a fourni une clef, permettant de découvrir ce titre très apaisant.