[Test] Ghostrunner 2 : un ninja qui mange pas de la pizza
Ca court, saute et s’élance
Ghostrunner 2 apporte des changements par rapport à son prédécesseur sans pour autant changer le gameplay : ajout de parade et parade parfaite, renvoyant les projectile aux ennemis, ou même les dashs qui dépendent maintenant d’une barre d’endurance. On incarne à nouveau Jack, le puissant, le beau, l’agile robot-ninja pas résistant (meurt en un coup).
Pour
- Nerveux, beau, contraignant comme on aime
- Les phases en moto sont vraiment cool
- Build personnalisable
Contre
- Relativement court
- Des petits ratés de level design pas corrigés depuis le premier opus
Ghostrunner 2 vous lance aux côtés du robot-ninja Jack dans un monde cyberpunk post-apocalyptique. Il vous faudra parcourir les niveaux parfaitement et d’une traite, car le moindre coup vous tuera.
Les moments de courses/actions sont donc exigeante et vous demandera plusieurs essais avant de trouver la route qui vous conviendra le mieux pour boucler votre niveau.
C’est joli tout ça, mais pas sans bug
Ce qui manque malheureusement à ce second titre, suite direct donc de Ghostrunner est un apport de correctif lors des phases de déplacement. En effet, il arrivera que lorsque vous sautez, vous accrochez à une plateforme, ou même, engagez un wall run, le personnage “glisse”, ne s’accroche pas et tombe. De mon point de vue, il y a quelque chose de bien pire : mourir sur un passage ou l’on saute, et la phase suivante, en faisant exactement le même saut, la distance parcourue est différente.
Comment se renouveler ?
Le jeu va nous inclure des moments bien gratifiant grâce à des niveaux en moto.
De plus, nous aurons droit en avançant dans le jeu à divers bonus disponible à l’achat, nous permettant par exemple d’électrocuter les ennemis, augmenter la vitesse des combos,… Il vous faudra débloquer les 48 améliorations et tout les slots de Jack pour pouvoir créer votre build parfait en fonction de chaque situation.
Ghostrunner 2 : le mot de la fin
Il est difficile de trouver un équilibre entre les moments de plaisirs et fun, quand on se prend sans cesse des coups dans le dos sans trop comprendre directement pourquoi. En effet, vu que Jack meurt en un coup, le die and retry est bien présent, mais très frustrant. Vous ne verrez pas forcément ce qui vous a tué, et il vous faudra probablement recommencer plusieurs fois avant de parvenir au niveau suivant. A cela s’ajoute des passage s avec des énigmes, cassant le rythme nerveux du jeu qui nous plait pourtant le plus. Plein de promesse, Ghostrunner n’en fera pas grand chose malheureusement avec sa petite dizaine d’heures de jeu.
