Cat Quest III

[Test] Cat Quest III – un abordage réussi

Temps de lecture estimé :2 Minutes, 34 Secondes

Après avoir jeté l’ancre sur PC et consoles l’été dernier, Cat Quest III s’est offert une belle mise à jour estivale. L’occasion de reprendre la mer et de vous donner notre avis sur la version console du jeu.

Un troisième opus qui fait voyager

Une fois de plus, Cat Quest III parvient à nous faire vibrer avec son univers coloré et ses aventures trépidantes. On regrettera la durée de vie un peu courte, mais les nombreuses quêtes annexes prolongent de manière sympathique la durée et de vie proposant de sacrés défis dont ceux à retrouver à la taverne si vous voulez pimenter la choppe de lait.

Points positifs
  • Le mode coop local
  • Un monde vaste à explorer
  • La diversité des quêtes et du bestiaire
  • Un arsenal de folie
  • Pas mal de quêtes annexes, mais…
Points négatifs
  • … une durée de vie un peu courte
  • La caméra fixe parfois capricieuse

Un chat à la mer

Si vous avez passé les cinq années précédant la sortie du jeu à ne pas découvrir les précédents, pas de panique! Vous n’aurez aucun mal à prendre le navire en route. De plus, vous aurez le choix entre les modes « facile » et « normal » pour parcourir la mer des charaïbes. Mais aussi la possibilité de prendre la mer en duo. Elle n’est pas belle la vie?

Une fois votre pirate échoué, vous atterrissez la plage de Chatuga en compagnie du capitaine Chapeauté qui n’est plus qu’un simple ectoplasme aussi vide que votre cervelle, ne sachant pas comment vous êtes arrivé ici. Mais selon la prophétie, vous êtes le « quêteur » qui parviendra à trouver l’étoile polaire. Une relique convoitée par les pires raclures du coin.

L’appel de l’aventure

Une fois à bord, nous découvrons un vaste monde qui ne demande qu’à être exploré. Au-delà de la trame principale, vous ferez la rencontre de nombreux personnages hauts en couleurs qui vous proposeront diverses quêtes annexes. Qui vous permettront d’affronter le roi pirate avec un arsenal de folie.

Le tout n’est que le sommet de l’iceberg puisque pas moins de 128 coffres seront à dénicher entre deux énigmes qui feront appel à votre sens de l’observation.Tout comme les nombreuses références aux classiques du JV, de la musique et de la pop culture dont le capitaine Metallichat, Castrevor Belmont et Dratcula qui seront parfois recherchés à la taverne.

Côté gameplay, le jeu se veut assez accessible. Les gachettes sont dédiées au lancement de sorts et d’armes à distances diverses. Tandis que que l’on retrouve les fonctionnalités d’attaque, d’esquive, sur les touches principales. Celà peut sembler impressionnant mais une fois que vous avez le coup de patte, les combats seront une promenade de santé. Un peu punitive au départ, la difficulté s’adapte cependant rapidement. Après avoir été mis au sol par les frères balai bros et quelques boss un peu tordus, vous parviendrez aisément au niveau adapté au boss, dont le roi pirate que j’ai combattu une fois au level 60 au bout d’une dizaine d’heures.

Pirates des charaïbes

On retiendra également la partie navale du titre qui vous permet de parcourir les différentes îles à la recherche de trésors et d’ennemis en tout genre. Pourquoi ne pas en profiter pour aller parfaire votre équipement aux boutiques locales? Mais aussi celui de votre navire qui pourra carburer à coups de boulets enflammés, électriques, et bien d’autres améliorations.

Nombreuses sont les activités à découvrir au fil de l’aventure. Qui vous feront cependant rager parfois avec la caméra que j’ai trouvée un peu rigide par moments. Ce qui, je vous l’avoue, ne m’a pas empêché de lancer le mode New Game Plus afin de dénicher les derniers coffres, de retrouver de vieux ennemis. Mais surtout d’aller écouter des récits de la taverne qui vous proposent des défis de taille! Dont le roi Goret qui vous charge sous une pluie de météorites…

Mais dans l’ensemble, Cat Quest III reste un titre des plus sympathiques qui m’aura fait voyager durant de nombreuses heures. Espérons simplement que la chatpocalypse qui annonce le quatrième opus ne tardera pas trop à pointer ses moustaches…

La légende raconte qu'il est apparu pour la première fois dans le rayon "horreur" du vidéoclub local. Grand amoureux du 7ème art , des survival horror et de la littérature sous toutes ses formes, sa plume est aussi aiguisée que le couteau de Michael Myers.

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