[Test] Atomic Heart (Jeu de base + DLC)
Après cinq ans de développement et une gestation difficile pour le studio Mundfish, c’est début 2023 qu’Atomic Heart est arrivé sur PC et consoles. Etant apssé à côté du titre lors de sa sortie, c’est à l’occaiosn de la sortie de son second DLC: Trapped in Limbo que nous avons décidés de partir à la découverte de la version alternative de l’U.R.S.S des années 50 qui avait fait couler beaucoup d’encre l’année dernière.
Un titre réussi mais parfois bancal
Points positifs
- Direction artisique superbe
- La partie FPS
- Intégralement traduit en français
- La diversité des armes
- Bonne durée de vie
Points négatifs
- La répétitivité des énigmes
- Le scénario peine à convaincre sur le long terme
- Un poil trop bavard
- Un humour qui divise
S’inspirant de nombreux classiques, Atomic Heart ne parvient malheureusement pas à les égaler. Véritable réussite sur le plan visuel, le jeu déçoit malheureusement avec un manque cruel de profondeur et des mécaniques qui s’essouflent rapidement. Passé ces défauts, il reste un FPS tout à fait correct mais qui divisera les amateurs du genre.
Back tu U.R.S.S
Le jeu se déroule dans un U.R.S.S ucrhonique en 1955 où un éminent scientifique, le docteur Dmitry Sechenov a su libérer le peuple ds tâches difficiles en remplaçant les ouvriers par des robots vivant aux côtés des humains. Le succès est immédiait amenant la patrie vers une nouvelle étape dans l’évolution: la polymérisation! Ce procédé permettra aux habitants de contrôler les machines via une simple injection mais lorsque l’expérience tourne mal lors de l’inauguration de la technologie Kollectiv 2.0, c’est dans la peau major “P3” Sergei, que vous devrez mettre fin à ce carnage afin de sauver vos kamarades.
Au démarrage, trois modes de jeu sont proposés: facile, normal et apocalypse. Ce test a été réalisé en mode normal sur Xbox Series à partir d’une version presse fournie par l’éditeur.
Le successeur de Bioshock?
Dès les premières minutes, on ne peut que penser à Bioshock Infinite. Le level design n’est pas sans rappeler la ville flottante de Columbia et bien d’autres apsects du jeu nous ramèneront à Rapture comme nous le verront ensuite.
Alternant zones ouvertes et bâtiments labyrinthiques, le titre de Mundfish nous offre des panoramas assez réussis visuellement mais manquant parfois de contenu. Impossible par exemple d’interagir avec les divers éléments du décor à l’exception des divers meubles à fouiller (ce qui ne manque pas) et d’éléments mécaniques utiles à la progression. Concernant les endroits fermés, on retrouve un contenu similaire mais tout de même un peu plus complet permettant de découvrir la folie du scientifique responsable de se carnage qui se serait bien entendu avec Andrew Ryan. Les robots occupant une place importante dans el récit, il ne sera pas surprenant au détour d’un couloir de croiser une caméra de surveillance, des tourelles et autres ennemis robotiques qui rappeleront quelques souvenirs à certains.
Armé de son polymère, P3 devra donc se frayer un chemin dans de dédale robotique ou le combat tiendra une place assez importante. Le bestiaire est assez diversifié proposant une pléthore d’ennemis allant du simple robot domestique au titan d’acier qui seront assez retors si vous n’avez pas le bon équipement. Cependant, les ennemis débarqueront par dizaine durant la premièr emoitié du jeu ce qui ceretes d’un côté ajoute un peu de nervosité au gameplay mais rendra également redondante la progression tout comme les très nombreuses énigmes qui même si elles peuvent sembler variées durant les premières heures vous sembleront vite répétititves.
On appréciera cependant la pléthore d’armes disponibles et améliorables tout au long de l’aventure allant de la simple hache à la Kalachnikov sans oublier les pouvoirs élémentaire comme le gel, la télékinésie mais aussi l’électricité que P3 pourra utiliser via son gant. Malheureusement, aucune interaction avec el décor n’est exploitée pour pouvoir électrocuter les ennemis, les emplaer sur une paroie murale,… on aurait aimé pouvoir varier les plaisirs vu le nombre de séquences de combats.
J’aime le beauf
Côté sound-design, la bande est correcte avec des riffs de métal qui ne manquent pas de rythme mais c’est surtout le franc-parler de l’ami P3 et ses nombreuses engueulades avec Charles qui retiendront votre attention faisant passer Duke Nukem pour un enfant de choeur à côté. Les dialogues peuvent parfois durer une dizaine de minutes et les p**** à répétition de P3 rendront ces séquences assez lourdes.
Une grosse pensée également pour certaines scènes dont la simulation d’un acte sexuel par deux robots ou encore les punchlines de la borne à tendance SM Nora qui risquent d’en choquer plus d’un. Cela peut prêter à sourire lors de la découverte mais passé la grosse vingtaine d’heures nécessaires pour boucler les quêtes secondaires et la trame principale, on a juste hâte d epouvoir passer à autre chose…
Deux DLC pour relever le tout?
Parmi les quatre DLC annoncés, deux d’entre eux sont déjà parus. Les festivités ont débutées l’été dernier avec Instinct d’annihilation nous permet de retrouver P3 dans une nouvelle zone appelée Mendeleev Complex. N’ayant plus d’armes ni d’accolyte (au revoir Cahrles), ce dernier fera la rencontre de Lebedev, un scientifique qui vous demandera de retrouver huit BEA-D uniques afin de restaurer Nora. Le bestiaire a été renouvellé pour l’occasion tout comme les armes avec l’arrivée du sécateur qui permet d efaire d esacré dégâts. La difficulté a également été revue à la hause ce qui pimente un peu la partie sans pour autant gommer les erreurs passées. Un DLC dans l’ensemble sympathique qui plaira aux fans et prolongera l’aventure quelques heures de plus.
Depuis le mois denrier, P3 à fait son retour avec Trapped in Limbo. Second DLC du jeu, l’intrigue d ece dernier prend place après la fin du jeu original et nous permet d’en apprendre d’avantage sur les origines de P3 mettant en scène son amour perdu: Katya mais aussi signant le retour de l’ami Charles qui n’est pas vraiment notre allié…
L’intrigue de ce second DLC est vraiement très intéressante mais parcourir les limbes ne sera pas une promenade de santé. Le gameplay se veut répétitif durant les cinq zones parcourues ce qui peine malheureusement à convaincre. Vite oubliable, ce second DLC se voudra intéressant sur le plan scénaristique mais permettra aussi de voir les diverses améliorations graphiques apportées un an après la sortie du jeu. Reste à voir quelles surprises nous réservent les deux prochains DLC dont le contenu et la date de sortie n’ont pas encore été dévoilées…
