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LEAGUE OF LEGENDS : BEL’VETH, L’IMPÉRATRICE DU NÉANT, CONSOMME LA FAILLE

Temps de lecture estimé :5 Minutes, 54 Secondes

Le MOBA League of Legends se dote d’un 160e Champion, une escarmoucheuse à la vitesse d’attaque infiniment croissante qui tire avantage des monstres environnants
et traque ses ennemis sans répit : Bel’Veth.

Un nouveau champion fait son apparition

Riot Games lance son 160e Champion sur son titre phare League of Legends. Bel’Veth, impératrice cauchemardesque née d’une cité dévorée, représente la fin de Runeterra et le début d’une monstrueuse réalité de sa propre conception. Mue par des siècles d’histoire, de connaissances et de souvenirs absorbés dans le monde du dessus, elle assouvit son appétit croissant pour les expériences et les émotions nouvelles, consumant tout sur son passage. Néanmoins, un seul monde ne suffira jamais à satisfaire tous ses désirs, aussi tourne-t-elle son regard avide vers les anciens maîtres du Néant… Les joueurs peuvent aujourd’hui prendre en main cette escarmoucheuse ultrarapide et terrifier leurs ennemis sur la Faille. 

L’histoire du jeu

Lancé en décembre 2009, League of Legends s’est rapidement imposé comme l’une des références du genre MOBA dans le monde entier. Les joueurs peuvent choisir parmi 160 Champions uniques, chacun muni d’un ensemble de sorts et se lancer à l’assaut du Nexus ennemis en équipe de 5. Petit à petit, le titre a su développer son lore, notamment au travers de ses Champions iconiques. L’arrivée de Bel’Veth résonne comme un nouveau développement de l’arc narratif du Néant et de l’imminent danger pour l’univers de Runeterra.

L’histoire de Bel’Veth

Description

Impératrice cauchemardesque née d’une cité dévorée, représente la fin de Runeterra… et le début d’une monstrueuse réalité de sa propre conception. Mue par des siècles d’histoire, de connaissances et de souvenirs absorbés dans le monde du dessus, elle assouvit son appétit croissant pour les expériences et les émotions nouvelles, consumant tout sur son passage. Néanmoins, un seul monde ne suffira jamais à satisfaire tous ses désirs, aussi tourne-t-elle son regard avide vers les anciens maîtres du Néant…

L’avidité et le Néant

Fascinée par le monde de l’existence et avide d’en créer un elle-même, Bel’Veth est l’équivalent d’un cancer qui aurait métastasé au cœur du Néant pour mieux détruire Runeterra et refaçonner la planète à son image. Elle a soif d’expériences, de souvenirs et de concepts nouveaux, dévorant des cités entières et leurs habitants. Les informations qu’elle ingurgite sont ensuite réadaptées pour former un tentaculaire paysage inhumain appelé « Mer de lavande ». Néanmoins, pas même le Néant n’est à l’abri de sa voracité, car elle se répand en son sein avec la force d’un océan primordial, obligeant tout et tous à se soumettre à son monde de désirs… ou à disparaître.

Possède des entités

Bien que Bel’Veth vienne à peine de faire ses premiers pas à Runeterra, la menace de son émergence planait depuis des millénaires, résultat d’une réaction allergique du Néant à la réalité naissante. La dimension du vide absolu, jadis immaculée et paisible, fut en effet irrémédiablement bouleversée lorsque l’existence vit le jour ; ses entités, individualisées de force, luttèrent pendant des siècles et des siècles pour tenter de se libérer du choc et de la souffrance. Elles effaçaient tout ce qu’elles consumaient, et c’est ce qui restait dans leur sillage destructeur qui inspira le nouveau nom de cette dimension : le Néant. Toutefois, ces entités connaissaient des mutations chaque fois qu’elles entraient en contact avec le monde et, autrefois parfaites, elles devinrent de violents animaux hédonistes.

Quelque chose de plus sinistre arrive…

Le Néant changea également. Après chaque bataille, chaque incursion, quelque chose de plus sinistre encore grandissait à l’intérieur d’une matrice cachée dans les recoins les plus sombres des tunnels des Néantins… Des bâtiments, de la lumière, des membres protohumanoïdes qui se tendaient sans but précis… C’était un puzzle dont aucune pièce ne s’emboîtait avec une autre… Le Néant avait pris une nouvelle forme hideuse. Au fil des époques, alimentée par les humains qui ouvraient des failles pour guerroyer et par les Veilleurs qui essayaient d’envahir Freljord, cette poche impie de non-création se développa jusqu’à adopter les concepts contraires de l’ancien Néant : le désir, l’avidité, le besoin.

Un chef pour le Néant

Très vite, le Néant comprit qu’il lui fallait un chef. Quelqu’un ou quelque chose capable d’écrire le nouveau chapitre terrifiant des mondes du dessus et du dessous. Un chef capable de communiquer avec ces « humains », de leur annoncer l’avènement d’une ère nouvelle et de récolter leurs émotions et leurs souvenirs lorsqu’ils livreront une guerre vaine pour sauver leur civilisation.

Bel’Veth est ce chef. Cette impératrice cauchemardesque est née des souvenirs, des expériences et des émotions d’une cité portuaire et de l’océan attenant que le Néant a dévorés. L’esprit de Bel’Veth renferme des millions d’années de connaissances parfaitement préservées. Quasi omnisciente, elle planifie la destruction de Runeterra et du domaine de ses ancêtres, les Veilleurs.

Elle ne ment jamais

À ceux qui ont la chance d’avoir une valeur stratégique à ses yeux, Bel’Veth ne ment pas, ne pose aucune question et ne cache pas la vérité. Elle dit simplement ce qui est, car, en raison de la nature même du Néant, la victoire est assurée et il est inutile d’en dire plus. Quant à ceux qui la contrarient, ils découvriront que sa forme humaine n’est que le fruit de son adaptativité ; ce n’est que lorsqu’elle déploie ses ailes gigantesques qu’elle révèle sa véritable apparence dans toute son horreur.

Un dieu de l’oubli

Ironie du destin, les tribus de la Shurima antique avaient un terme pour décrire ce qu’elle est. Signifiant approximativement « Dieu de l’oubli », il désignait une divinité impitoyable qui pouvait supprimer toute chose et la remplacer par elle-même, sans éprouver la moindre haine. Les Shurimiens baptisèrent la ville de Belveth d’après ce mythe, mais des centaines d’années passèrent et le véritable sens de ce mot finit par disparaître des mémoires.

Sauf, peut-être, de celle de la créature qu’est devenue cette ville.

Ses compétences

Passive – Mer de lavande 

Après avoir utilisé une compétence, les 2 attaques suivantes de Bel’Veth ont une vitesse d’attaque augmentée. En outre, chaque fois que Bel’Veth élimine un gros monstre ou un champion, elle gagne de la vitesse d’attaque supplémentaire permanente, sous forme de charges de lavande. Bel’Veth attaque plus vite que la normale et n’a pas de limite de vitesse d’attaque, mais ses attaques et ses effets à l’impact infligent des dégâts réduits, et elle ne gagne pas de vitesse d’attaque en gagnant des niveaux.

A – Charge du Néant 

Bel’Veth s’élance dans une des quatre directions, infligeant des dégâts à tous les ennemis qu’elle traverse et appliquant ses effets à l’impact. Chaque direction possède un délai de récupération propre qui dépend de la vitesse d’attaque. 

Z – Projection cinglante 

Bel’Veth frappe de la queue, ce qui inflige des dégâts, projette et ralentit les ennemis touchés. En touchant un champion ennemi, cette compétence réduit le délai de récupération de la ruée de A – Charge du Néant dans la direction du champion touché. 

E – Maelström impérial 

Bel’Veth canalise une tempête d’entailles autour d’elle, ce qui lui fait gagner du vol de vie et de la réduction de dégâts. Chaque entaille frappe l’ennemi avec le moins de PV présent dans le Maelström, et inflige des dégâts proportionnels aux PV qui lui manquent. Le nombre d’entailles dépend de sa vitesse d’attaque. 

R – Banquet infini 

Passive : toutes les deux attaques contre une même cible, Bel’Veth inflige des dégâts bruts supplémentaires (cumulable à l’infini). Les éliminations contre les monstres épiques et les champions font apparaître un morceau de corail du Néant. Les monstres épiques du Néant, comme le héraut de la Faille et le baron Nashor, rapportent des coraux du Néant spéciaux.  
Active : Bel’Veth consomme un morceau de corail du Néant et explose, ce qui ralentit et inflige des dégâts bruts à tous les ennemis, selon leurs PV manquants. En consommant du corail du Néant, Bel’Veth adopte temporairement sa Forme véritable. Consommer le corail du Néant laissé par les monstres épiques du Néant (Héraut de la Faille et baron Nashor) confère à Bel’Veth sa forme véritable pour une durée plus longue, et les sbires qui meurent en sa présence reviennent à la vie sous forme d’êtres du Néant à ses ordres. Les êtres du Néant sont de petits sbires qui serviront Bel’Veth en avançant dans la voie dans laquelle ils sont apparus.

Forme véritable : lorsque Bel’Veth déchaîne sa forme véritable, elle gagne des PV max bonus, de la vitesse de déplacement hors de combat, de la portée d’attaque et de la vitesse d’attaque totale. Dans sa forme véritable, elle gagne aussi la capacité de traverser les murs avec sa ruée de A – Charge du Néant.

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