[DEMO] Maliki : Poison of the Past – La démo qui secoue la pop culture vidéoludique !
Fans de RPG, de récits décalés et d’univers visuels qui claquent, voici la démo de Maliki : Poison of the Past qui risque de vous faire vibrer. Disponible depuis peu sur Steam, ce jeu s’annonce comme une petite bombe. Adapté de la célèbre bande dessinée Maliki créée par Souillon, ce titre ne se contente pas de surfer sur la nostalgie. Il réinvente son univers avec audace et créativité. Alors, qu’est-ce qui rend cette démo si spéciale ? Entre ses développeurs passionnés, ses inspirations éclectiques, son gameplay novateur et ses graphismes uniques, plongeons dans ce qui sera un jeu à ne pas louper.
Blue Banshee : une équipe bretonne qui envoie du lourd
Commençons par les cerveaux derrière ce projet. Maliki : Poison of the Past est l’œuvre de Blue Banshee, un studio indépendant basé à Auray, en Bretagne. Fondé en 2022 par trois figures clés – Souillon (le créateur de Maliki), Étienne Jacquemain (un illustrateur et pro du jeu vidéo) et Anthony Roux (boss d’Ankama) –, ce trio allie expérience et amour du transmédia. Leur ambition ? Créer des jeux qui mêlent univers fantastiques, humour et gameplay accrocheur. Et pour un coup d’essai, c’est un coup de maître !
Blue Banshee n’est pas un énième studio impersonnel. Au contraire, il porte une identité forte, ancrée dans la passion de ses fondateurs. Souillon apporte 20 ans d’expérience avec Maliki, une BD qui a conquis plus de 300 000 lecteurs depuis 2004. Jacquemain, quant à lui, injecte son savoir-faire en design et narration vidéoludique. C’est avec Roux et son expertise chez Ankama (à qui l’on doit Dofus et Wakfu), que la production est solide. Ensemble, ils forment une équipe qui respire la créativité et l’envie de surprendre. Cette démo de Maliki : Poison of the Past prouve d’ailleurs qu’ils ne plaisantent pas. Le jeu est peaufiné, ambitieux et déborde de personnalité.
Des inspirations qui puisent dans le meilleur de la pop culture
Passons maintenant aux racines de Maliki : Poison of the Past. Si le jeu s’inspire directement de la BD Maliki, il ne se repose pas uniquement sur cet héritage. En effet, ses influences vont bien au-delà, puisant dans des références qui parleront aux 15-35 ans biberonnés à la pop culture. Imaginez un mélange savoureux entre l’animation japonaise, les RPG rétro et la bande dessinée franco-belge. C’est exactement ce que Blue Banshee a concocté.
D’un côté, on sent l’amour pour les JRPG classiques comme Chrono Trigger ou Final Fantasy. La manipulation du temps, au cœur du gameplay (on y revient plus loin), rappelle les mécaniques ingénieuses de ces titres cultes. De l’autre, l’humour décalé et les personnages hauts en couleur évoquent des séries animées comme One Piece ou des mangas pleins de vie. Ajoutez à cela une touche de BD française – pensez à Lanfeust ou Soda – et vous obtenez un cocktail explosif qui rend hommage à ses inspirations tout en les dépassant. Cette fusion n’est pas juste un clin d’œil : elle donne à Maliki : Poison of the Past une âme unique, à la croisée des cultures.
Mais ce n’est pas tout. Le jeu s’inspire aussi de thèmes modernes, comme l’écologie et la lutte pour l’équilibre du monde, portés par une narration engagée mais jamais moralisatrice. Face à Poison, une créature végétale qui menace l’espace-temps, Maliki et sa bande incarnent une résistance loufoque et attachante. Cette vibe éco-fantasy, mêlée d’absurde, pourrait séduire les fans de Studio Ghibli ou de jeux indés comme Hollow Knight. Bref, Maliki : Poison of the Past ne copie pas : il réinvente avec style.

Une mécanique temporelle qui casse les codes
Et si on parlait de ce qui rend Maliki : Poison of the Past vraiment à part ? Car oui, cette démo ne se contente pas de proposer un RPG au tour par tour classique. Elle introduit une mécanique qui change la donne : la manipulation temporelle. Dans les combats, vous pouvez jouer avec le temps pour créer des combos dévastateurs, décaler vos ennemis dans le passé ou même vous synchroniser avec vous-même en mode « résonance ». C’est tactique, fun et sacrément innovant !
Concrètement, imaginez-vous en train d’affronter un boss. Plutôt que de spammer des attaques basiques, vous pouvez rewind de quelques secondes pour repositionner vos alliés, déclencher une double attaque ou bloquer un adversaire dans un paradoxe temporel. Cette idée, bien exécutée dans la démo, apporte une fraîcheur bienvenue au genre. Elle force à réfléchir stratégiquement tout en gardant un rythme dynamique. Pour les fans de RPG qui trouvent les systèmes traditionnels trop statiques, Maliki : Poison of the Past pourrait bien être une bouffée d’air frais.
En dehors des combats, cette temporalité se retrouve dans l’exploration et les énigmes. Le Domaine, votre QG hors du temps, évolue avec vos actions, et les voyages à travers les époques ajoutent une couche narrative captivante. Cette approche globale – combat, exploration, gestion – fait de Maliki : Poison of the Past un titre qui ose sortir des sentiers battus. Et franchement, pour un studio indé, c’est un pari audacieux qui semble déjà gagné dans cette démo.
Des graphismes qui claquent et célèbrent l’héritage Maliki
Enfin, impossible de parler de Maliki : Poison of the Past sans s’attarder sur son esthétique. Les graphismes sont une véritable claque visuelle, et pas seulement pour les fans de la BD. Blue Banshee a opté pour un style « chibi » acidulé, mélangeant la douceur des designs japonais à la vivacité de la BD française. Le résultat ? Un univers coloré, expressif et bourré de charme.
Chaque personnage, de Maliki à Becky en passant par les créatures délirantes, déborde de personnalité. Les animations sont fluides, les décors fourmillent de détails – mention spéciale à l’Arbre aux Mille Racines, qui impose une vibe mystique à couper le souffle. La démo montre aussi un soin apporté aux cinématiques, qui capturent l’esprit loufoque et émouvant de l’œuvre originale. C’est beau, c’est vivant, et ça donne envie d’explorer chaque recoin du jeu.
Ce qui frappe aussi, c’est l’équilibre entre 2D et 3D. Les combats en tour par tour adoptent une vue classique avec des sprites soignés, tandis que l’exploration passe en 3D légère, offrant une immersion sans alourdir le style. Cette direction artistique ne se contente pas de rendre hommage à Maliki : elle la sublime, en faisant un pont parfait entre la BD et le jeu vidéo. Pour les 15-35 ans qui kiffent les visuels qui popent, c’est un régal.

Pourquoi Maliki : Poison of the Past va marquer les esprits ?
En résumé, la démo de Maliki : Poison of the Past a tout pour plaire. Avec Blue Banshee aux manettes, un mélange d’inspirations pop culture maîtrisé, une mécanique temporelle qui dépoussière le RPG et des graphismes qui en mettent plein les yeux, ce jeu s’annonce comme une pépite indé à suivre de près. Prévu pour le 22 avril 2025 sur PC et Nintendo Switch, il promet une aventure à la fois accessible aux nouveaux venus et riche pour les fans de la première heure.
Alors, si vous cherchez un titre qui sort du lot, foncez tester cette démo sur Steam. Maliki : Poison of the Past n’est pas qu’un jeu : c’est une expérience qui célèbre 20 ans d’un univers culte tout en le réinventant pour une nouvelle génération. Préparez vos manettes, le voyage temporel commence bientôt !
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