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Notre chasseur favori fait son grand retour sur Disney+. Découvrez notre critique de Predator : Killer of Killers.

La chasse est ouverte

Aux origines, Predator est un film de science-fiction paru en 1987, réalisé par John McTiernan, qui donnera naissance. Au fil des décénnies, le film aura connu bon nombre de suites à la qualité parfois discutables (coucou Alien vs Predator), mais aussi diverses adaptations en comics et vidéoludiques.

Usée jusqu’à la moelle, on aurait pu croire la franchise morte et enterrée après le The Predator de Shane Black. Mais c’est en 2022 que le Dan Tratchenberg crée la surprise en nous lançant au visage (et sur Disney +) Prey. Un film qui m’avait séduit lors de sa sortie (vous pouvez retrouver ma sortie ici). C’est donc avec plaisir que je me suis lancé dans Predator : Killer of Killers, dont je vous laisse (re)découvrir le trailer avant d’entrer dans le vif du sujet.

Il est de retour sur Disney+ et il a 90 min pour tuer

Dixit le guerrier terrien qui bottait le cul du pauvre alien qui avait choisi la mauvaise planète pour chasser. Predator : Killer of Killers fait le choix audacieux de se dérouler en quatre temps :

L’ère Viking : le bouclier

Nous y suivons Ursa qui cherchant à retrouver le chef ennemi responsable de la mort de son père va être confronté au Predator.

Le Japon féodal : le sabre

Deux frères s’affrontent vingt ans après la mort d eleur père. Mais un nouvel ennemi a décidé de se joindre au duel.

La 2nde guerre mondiale : la mitraille

Un jeune homme se retrouve enrôlé dans l’armée Américaine. Mais dans les airs, ils ovnt devoir faire face à un ennemi innatendu.

Trois Predators, trois temporalités qui, malgré les apparences, se rejoignent pour un final aussi inattendu qu’explosif. Chose qui arrive rarement, la suite de l’article va contenir bon nombre de spoilers. Je vous recommande de visionner Predator Killer of Killers et de revenir ensuite pour ne pas gâcher l’effet de surprise…

Ce que j’ai pensé de Predator : Killer of Killers

Malgré mes quelques appréhensions, j’avoue avoir été agréablement surpris par Predator : Killer of Killers. Même si le trait m’a déplu, c’est côté scénario que ce film d’animation aurait su me séduire! La qualité de cette catholique est en demi-teinte à mon sens. L’ère Vking s’essoufle vide tandis que la partie située au Japon ne manque pas de piment. Tout comme “la mitraille” qui nous offre un duel aérien jusqu’ici inédit, tout comme ce qui suit.

Le final vraiment explosif nous amène sur une planète extraterrestre sur laquelle nos trois protagonistes ont été capturés par les Yautja. Nous découvrons alors le Grendel King, un seigneur de guerre Predator qui invite Ursa, Torres et Kenji à combattre à mort, tout comme dans une arène de gladiateurs. Le survivant aura l’honneur de l’affronter…

Et alors que le fan service entre en scène avec d’innombrables références de la franchise, dont le pistolet qui avait été offert à Mike Harrigan à la fin de Predator 2 . Nous découvrons alors que certains guerriers humains, dont Naru (Prey), sont cryogénises et conservés pour de futurs combats dans l’arène.

Tandis que Predator : Badlands divise à travers ses premières images (verdict fin 2025), Predator : Killer of Killers ouvre la voie à de nouveaux opus très prometteurs dont Prey 2. Mais aussi à des personnages cultes comme Dutch et bien d’autres adversaires redoutables. Mais faute de confirmation officielle, il faudra attendre pour en savoir plus…

Rédacteur :

Vox Populi

Fondateur de Game Cover. Grand amoureux du JV depuis la Master System et de l'univers post-apo. Joueur team Xbox chasseur de succès entre deux lectures. Ici pour vous offrir le meilleur de l'actualité sans langue de bois!

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