[Critique Anime] Kaiju n°8 : Mission Recon

Temps de lecture estimé :2 Minutes, 43 Secondes

En attendant la saison 2 prévue cet été, découvrez notre critique de Kaiju n°8 : Mission Recon qui était diffusé en salles les 17 et 18 avril.

A propos de Kaiju n°8 : Mission Recon

Kaiju n°8 est un shônen de Naoya Matsumoto paru chez Kazé en 2021. La série comporte actuellement 14 tomes (le 15 est prévu pour le mois de septembre 2025). Aisi qu’un spin-off Kaiju n°8 : Side B dont vous pouvez retrouver la critique ici. Le manga a également été adapté via Crunchyroll (qui a repris la publicaton du manga) depuis le mois d’avril. 

L’anime a débuté en avril 2024 sur Crunchyroll. La première saison reprend l’arc narratif des cinq premiers tomes. Alors que la seconde a été annoncée pour cet été, c’est en mars que la célèbre plateforme de streaming et Sony Pictures Entertainment ont annoncé la distribution en salles de  Kaiju No°8 : Mission Recon.

Fiche technique :

  • Titre original : Kaiju No. 8 : Mission Recon
  •  Durée du film : 2 h 00
  •  Réalisateur : Shigeyuki Miya, Tomomi Kamiya
  •  Scénariste : Shigeyuki Miya, Tomomi Kamiya, Yuuto Tsukuda, Kido Yuichiro d’après l’œuvre de Naoya Matsumoto
  •  Interprètes : Masaya Fukunishi, Wataru Kato, Asami Seto, Ai Fairouz, Kengo Kawanishi, Tesshô Genda, Komoto Keisuke, Kenta Miyake

Le Japon est infesté de kaiju, et le travail de Kafka Hibino consiste à se débarrasser de leurs carcasses. Pendant ce temps, son amie d’enfance, Mina Ashiro, grimpe les échelons dans les Forces de Défense anti-kaiju. Kafka avait abandonné l’idée de les intégrer, mais décide finalement de retenter sa chance pour se rapprocher de Mina. Un seul bémol : il devient subitement le puissant Kaiju No. 8 !
Avec la complicité de Reno Ichikawa, son jeune collègue, Kafka dissimule sa transformation et passe le concours d’entrée des Forces, dans le but de réaliser son rêve de petit garçon et de se tenir aux côtés de Mina. Lorsqu’un mystérieux kaiju doté de raison attaque la base où a lieu l’épreuve, il va devoir faire un choix cornélien dans une situation critique…

Synopsis

Mon avis

Nous suivons Kafka Hibino, membre de l’entreprise de nettoyage Monster Sweaper Inc chargée de débarasser les zones ou les kaijus ont frappé. Son rêve de gosse est de rejoindre la troisième unité des forces de défense. Mais il a sans cesse échoué à l’examen contrairement à son ami d’enfance Mina Ashiro qui en est devenue la commandante.

Alors qu’il est sur le point de jeter l’éponge même s’il peut tenter le concours une dernière fois, sa rencontre avec un nouvel agent Reno Ichikawa le boostera pour la dernière tentative. Mais tout bascule lorsq’une créature s’introduit dans son organisme et le métamorphose en une entité surpuissante mi-humanie, mi-kaiju. Son nouveau nom de code : Kaiju n°8.

Au fil des épisodes, on ne peut que s’attacher au personnage de Kafka. Malgré l’étiquette looser qui lui colle à la peau, il fait preuve d’un grand courage. Et ne manque pas de tenir tête aux jeunes recrues qui le trouvent trop vieux pour être sur le terrain à leurs côtés. L’action ne manque pas, tout comme l’humour décapant qui ponctue le récit.

Reprenant les grandes lignes de la première saison, ce long métrage arrive cependant avec une petite nouveauté : l’épisode inédit Le jour de congé de Hoshina que nous découvrons passé le générique initial. Un plaisir de retrouver les membres de l’unité qui en profitent pour filer Hoshina, l’un de mes protagonistes favoris.

Conclusion

En bref, Kaiju n°8 : Mission Recon est une excellente porte d’entrée dans cet univers si vous êtes passé à côté. Ayant dévoré la première saison (que vous pouvez retrouver sur Crunchyroll) et le manga, j’étais ravi de retrouver Kafka et toute l’équipe en attendant la suite de leurs aventures. Il me tarde de découvrir la saison 2 qui fait partie de mes grosses attentes de l’été. Pas vous?

La légende raconte qu'il est apparu pour la première fois dans le rayon "horreur" du vidéoclub local. Grand amoureux du 7ème art , des survival horror et de la littérature sous toutes ses formes, sa plume est aussi aiguisée que le couteau de Michael Myers.

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