Cette année, les Kaijus ont le vent en poupe. Après le retour de Godzilla et le phénomène Kaiju N°8, découvrons le premier tome de Superbeasts.
A propos de l’ouvrgage
Paru aux éditions Vega Dupuis dans la catégorie Shonen, Superbeasts est une saga qui a débutée chez nous le 5 juillet 2024. Le tome 2 est sorti ce jour et un troisième tome serait prévu pour le mois de novembre. Derrière ce premier tome de 204 pages vendu 8,35 €, nous retrouvons Nykken au dessin et au scénario d’après une oeuvre originale de Toy(e) initialement une série d’artbooks.
Un jour, en plein Tokyo, un étrange brouillard s’épaissit fortement et sans raison apparente. Soudain, une énorme bête à cinq têtes jaillit du brouillard et détruit tout sur son passage. En fait, de nombreux monstres ont commencé à apparaître un peu partout dans le Japon, sortes d’animaux géants mais semblant génétiquement modifiés. Pour ne pas se laisser dominer par ces créatures, une organisation militaire fait rapport de leurs apparitions, et les combat pour protéger l’espèce humaine… s’il est encore temps.
Résumé fourni par les éditions Vega/Dupuis
Mon avis
Tout débute sur l’île de Kibitsujima qui est régulièrement la cible de créatures monstrueuses d’origine inconnue. Le gouvernement a décié de baptiser ces dernières les “Chymer”. Afin de sauver les civils et d’éradiquer cette menace, un groupe d’intervention a été envoyé sur place mais l’opération se soldera par un échec les obligeant à fermer l’île mais permettant aussi la création de « la mairie » dont le but sera d’étudier l’ennemi.
Aux commandes de cette unité d’élite : le professeur Kisaragi qui après avoir survécu à une attaque de Chymer sera confrotné à une nouvelle forme de menace les “sorcières” autrefois humaines mais ayant fusionné avec l’ennemi deveant alors leur salut ou une nouvelle forme qui pourrait provoquer la fin de l’humanité…
Etant un grand fan de Kaiju, j’ai été rapidement pris par le scénario basique de prime abord mais nous incotant à dévorer l’ouvrage. On retrouve une fois de plus, un Japon meurtri par le phénomène tout en alternant séquences de combat riche en acton mais aussi une réflexion sur fond écologique. Le sang afflue autant que les questions qui pour le moment restent sans réponses.
Adapter ce projet pensé autrement de base est un pari audacieux mais réussi au final. Le premier tome de Superbeasts reste une agréable découverte dans son ensemble et même si je ne crierais pas de suite au coup de coeur, il me tarde de pouvoir découvrir les deux autres tomes qui s’annoncent très prometteurs.
Les deux premiers tomes de Superbeasts sont disponibles via le site de l’éditeur (que nous remercions pour l’envoi de la version presse ayant servi à la réalisation de cette chronique) et en librairies.