[Chronique Manga] Pandora Hearts – Perfect Edition

Quinze ans après la sortie du premier tome, redécouvrez le classique de Jun Mochizuki avec Pandora Hearts – Perfect Edition. Une édition grand format arborant des pages colorées et à la couverture sublimée à l’effigie des différents personnages.

Présentation de l’ouvrage

Initialement édité entre juillet 2010 et avril 2016 aux éditions Ki-oon, ce classique est de retour dans une nouvelle version. Il s’agit de tomes doubles dont le premier est sorti le 2 janvier. Le second est annoncé pour le 6 mars prochain (vous pouvez retrouver l’ensemble des sorties de l’éditeur en mars ici). Et le suivant pour le mois de juin.

Oz Vessalius, héritier d’une maison de Duc, vient tout juste d’avoir quinze ans. Sa vie est riche et insouciante, mais assombrie par l’absence constante de son père…
Lors de son passage à l’âge de la cérémonie, tout change. Pour aucune raison apparente, il est jeté dans la prison connue sous le nom de « Abyss », pour être sauvé par une « chain » connue sous le nom d’Alice, le lapin de sang noir. Pourquoi a t-il été jeté dans Abyss ? Qui est réellement Alice dans tout cela ? Qu’est ce que l’organisation connue sous le nom de « Pandora » lui veut ?

Synopsis

Mon avis

N’ayant pas lu le manga lors de sa sortie initiale, j’ai rapidement été séduit par son univers gothique et torturé. A l’approche du jour de la cérémonie de passage à l’âge adulte, nous découvrons le jeune Oz Vessalius (héritier de l’une des quatre grandes familles ducales). Ce dernier fait une bien étrange découverte : une tombe à l’inscription illisible sur laquelle est apposée une montre à gousset. Elle va le projeter dans un étrange univers : l’abysse ou il va entre autre faire la connaissance de B-Rabbit / Alice…

Au fil de la lecture, on part en quête de réponse tout comme notre jeune protagoniste. On découvre un monde étrange qui n’est pas sans rappeler Alice au pays des merveilles de Lewis Caroll. Ce dernier est peuplé d’étranges créatures qui vous feront penser au chapelier fou, au chat de Chessire. Sans oublier le démoniaque lapin noir que je trouve fascinant. Les dessins sont également bourrés de nombreuses références. Mais le scénario risque de perdre quelques lecteurs en cours de route.

En bref, Pandora Hearts – Perfect Edition est une lecture que j’ai globalement appréciée. Mais j’attends de pouvoir approfondir ma lecture avec le second tome prévu dans quelques jours avant de crier au coup de coeur.