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[Chronique] Le gars qui a fait Doom

Doom Guy forever
Temps de lecture estimé :3 Minutes, 6 Secondes

Doom, Wolfenstein 3-D, Quake,… Des titres emblématiques qui ont marqués l’histoire du jeu vidéo et sont encore sur toutes les lèvres après tant d’années. Derrière tout ces titres, un nom revient sans cesse: John Romero. Véritable rock star du jeu vidéo avec plus de 130 jeux à son actif, le co-créateur de ces classiques revient aujourd’hui sur sa carrière et les différentes périodes de sa vie qui ont fait de lui le parrain du jeu de tir dans son autobiographie: Le Gars qui a fait Doom paru aux éditions Omaké Books.

A propos de l’ouvrage

Disponible sur le site d’Omaké Books et en librairies à partir du 28 mars, l’ouvrage sera commercialisé au prix de 25,00 € dans un superbe coffret collector comprenant le livre et une photo dédicacée de l’auteur (une belle pièce de collection pour les collectionneurs).

L’ouvrage comporte 384 pages et propose une couveture sobre mais efficace signée Bruno Rocca et Jean-Charles Xavier qui s’est également chargé de la traduction du livre que nous vous présentons aujourd’hui. La chronique a été réalisée à partir d’une version presse fournie par l’éditeur que nous remercions pour sa confiance.

John Romero, rock star du jeu vidéo, est le co-créateur de DOOMWolfenstein 3-D et Quake (entre autres), quelques-uns des plus grands jeux vidéo de tous les temps. Considéré comme le parrain du jeu de tir à la première personne, un genre qui continue de dominer le marché aujourd’hui, il occupe une place unique dans l’histoire du jeu.

Présentation du jeu par l’éditeur

Doom Guy : les origines

Dans ce livre divisé en quatre parties, nous découvrons la vie de John Romero (comme il le dit si bien en introduction, tout est parti d’une conférence qu’il devait tenir) et ce dès son enfance. Ce dernier revient sur son enfance difficile mais dont il garde de bons nouvenirs malgré tout en nous parlant de la naissance de sa passion avec le flipper et ensuite des bornes d’arcades (dont Pacman qui ara été une source d’inspiration). Le développement de jeu est une activité qu’il commence dès le collège avec de petits jeux et c’est une fois son diplôme obtenu qu’il quittera l’angleterre (ou il est installé avec sa mère, son petit frère et son beau père) pour retourner aux U.S.A qui selon lui a une longueur d’avance côté technologie.

Faisant son petit bout de chemin en tant que développeur, il fera ses armes sur Apple II tout en apprenant le portage de jeu (comme pour 2400 A.D vers Commodore 64 qui sera finalement annulé) avant de quitter son poste chez Origin Systems pour créer une start-up avec John Falcini: Inside Out Software qu’il quittera également neuf mois plus tard.

Pages après pages, nous découvrons son parcours profesionnel jusqu’à sa rencontre avec John Carmack, le co-créateur d’Id Softaware leur société née en février 1991. Au fil de la lecture, on ressent la passion qui anime le créateur qui nous parle des idées qui ont données naissances au jeu de tir à la première personne avec des titres qui les ont inspirés, les nombreux collaborateurs qui ont donné naissance à leurs jeux mais aussi les divers freins liés à la technologie d’époque. Il est fascinant de découvrir tout le chemin parcouru avant al sortie du monument vidéoludique Doom qui était son 90ème jeu mais aussi comment progressivement sont arrivés les modes multi sur les FPS et le tant aimé deathmatch qui devenu un mode incontournable au fil des années.

Les aléas de la réussiste

Au delà de tout l’apscet technique de sa carrière, John Romero nous parle aussi de l’impact de sa réussite sur le plan personnel. Sacrifices familiaux, crunch intensif lié au développement de Quake (qui n’était pas pensé comme le jeu que nous connaissons maintenant) sans oublier son départ d’Id Software et la suite de sa carrière. Mais malgré la tempête traversée entre temps, on voit que la passion qui l’animait à ses débuts est toujours présente ainsi que sa positivité qui est clairement un modèle d’inspiration.

Conclusion

Etant un grand fan de John Romero, j’ai pris un immense plaisir à lire cette autobiographie qui est ausssi touchante qu’intéressante. Difficile cependant de résumer cet ouvrage sur un simple article tant il est complet. Quoi qu’il en soit, Le Gars qui a fait Doom est l’ouvrage de référence à posséder si vous êtes fan mais aussi si vous êtes justement curieux de découvrir qui est l’homme derrière ces jeux qui après plus de trente ans d’existence, n’ont pas fini de séduire les joueurs…

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