[Chronique Comics] Dracula

Temps de lecture estimé :1 Minutes, 46 Secondes

Après L’Étrange Créature du lac noir vit toujours, retournons dans l’univers des Universal Monsters avec Dracula. Chef d’oeuvre de Bram Stocker.

Présentation de l’ouvrage

Grand chef-d’oeuvre de la littérature ayant connu maintes adaptations au cinéma, Dracula reste un personnage emblématique. Pour ma part, c’est avec le film de Mel Brooks : Dracula- mort et heureux de l’être que je l’ai découvert. S’en est suivie la lecture du roman et bien entendu le visionnage de l’adaptation de Francis Ford Coppola qui reste à ce jour un véritable bijou pour les fans de vampires. Nous pourrions passer en revue bien des films mais ici, attardons nous sur la toute première adaptation d’Universal Pictures en 1931 réalisée par George Melford.

Un nouveau patient vient d’arriver au sein de l’asile du Dr John Seward. Répondant au nom de Renfield, celui-ci raconte d’étranges histoires à propos d’un démon qui se serait installé non loin de là. Tandis que Seward essaie de comprendre et d’appliquer une logique à ces récits sans cohérence, sa fille succombe à l’influence d’un homme étrange… un certain Dracula.

Résumé de l’ouvrage fourni par Urban Comics

  • Date de sortie 18 octobre 2024
  • Editeur : Urban Comics 
  • Scénario : James Tynion IV
  • Dessin :  Martin Simmonds
  • Traduction :  Maxime Le Dain
  • Prix : 20 €
  • Nombre de pages : 128
  • Contenu vo : Dracula #1-4

Chronique réalisée à partir d’une version presse fournie par Urban Comics que nous remercions.

Mon avis

Reprenant la trame du roman orignal, Dracula débute dans l’asile géré par le docteur Seward. Ce dernier est en pleine scéance avec un patient arrivé depuis peu : Renfield. Aussi fanscinant que dérangé, ce dernier aime se nourrir d’insectes et ne fait que parler de son “maître” qui sera bientôt là…

Au fil des pages, nous découvrons l’arrivée du mystérieux comte qui deviendra rapidement une obsession pour Lucy, l’amie de Mina Harker. Côté scénario, j’ai adoré la vision de James Tynion IV qui revient également sur son travail dédié au chevalier noir (une autre chauve-souris). Le trait de Martin Simmonds s’imbrique parfaitement au récit, révélant toute la noirceur du personnage avec des illustrations vraiment soignées.

On prendra plaisir à (re)découvrir ce mythe fasinant entre marins du Démetter exsangues tout comme de nombreux cadavres dans les rues de Londres, une romance impossible mais sublime dans un voyage graphiquement sublimé pour le plus grand plaisir des fans.

Urban Comics frappe fort à l’approche d’halloween. Remettant sous les projecteurs ces deux titans du cinéma de genre. Reste à croiser les doigts pour que le reste des Universal Monsters arrive prochainement sur nos étagères…

Rédacteur :

Vox Populi

Fondateur de Game Cover. Grand amoureux du JV depuis la Master System et de l'univers post-apo. Joueur team Xbox chasseur de succès. Ici pour vous offrir le meilleur de l'actualité sans langue de bois!
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