[Preview / Gamescom 2025] – Dying Light : The Beast : la renaissance brutale d’une franchise culte
Dix ans après le premier opus, Techland revient avec Dying Light: The Beast, un jeu plus brutal, plus viscéral et plus introspectif que jamais. Attendu pour le 19 septembre 2025, ce nouvel épisode a été présenté en avant-première à la Gamescom, où il a marqué les esprits par son intensité et sa direction artistique affirmée.

Une heure de chaos maîtrisé à la Gamescom
En exclusivité pour vous, nous avons pu testé le jeu sur place dont on nous a laissé sous entendre qu’on participerait à une session dite “brutalisante” et “jouissive”. En effet, dans cet opus, Kyle Crane, mi-homme mi-infecté, évolue dans Castor Woods, une région montagneuse et forestière conçue pour maximiser les sensations de parkour. Le moteur C-Engine (ndlr : pour Chrome Engine) propulse des graphismes saisissants, des effets gore exacerbés et une fluidité de mouvement rarement égalée.
Le retour de Kyle Crane en mode cauchemar
Transformé par des expériences génétiques, Kyle dispose désormais de pouvoirs surnaturels qu’il peut activer temporairement : force brute, vision nocturne, hurlement de rage… mais chaque usage le rapproche de la bête qu’il tente de contenir. Cette dualité est au cœur du gameplay et de la narration, qui s’oriente vers une introspection plus marquée que dans Stay Human.

Castor Woods : un monde à dompter
Inspirée des Alpes suisses, cette nouvelle carte mêle zones urbaines délabrées, forêts denses et marécages inquiétants. Le parkour y est plus vertical, plus libre, et les environnements encouragent l’exploration. Les développeurs promettent une expérience “zombie” électrisante, où chaque recoin peut cacher une embuscade ou un secret.

Un gameplay plus viscéral et stratégique
- Combat : armes de mêlée variées (arc, lance-flammes, fusil d’assaut, disque tranchant), démembrements réalistes, gestion de la durabilité.
- Cycle jour/nuit : la nuit reste un cauchemar, avec des créatures plus agressives et une furtivité indispensable.
- Transformation : libérer “la Bête” offre un boost de puissance temporaire, utile contre les ennemis les plus coriaces
Coop et choix moraux
Jouable jusqu’à 4 en coop, The Beast propose une progression partagée et des dilemmes moraux : céder à la violence pour sauver des innocents, ou préserver son humanité au risque de tout perdre. Ces choix influencent le déroulé de certaines missions et la perception du personnage par les autres survivants.
Nos premières impressions :
Si Dying Light : The Beast se veut être le digne successeur en tentant d’honorer parfaitement l’héritage de ses prédécesseurs tout en les surpassant sur tous les aspects qui ont fait leur succès. Le parkour atteint, ici, une fluidité inégalée accompagné de combats nous délivrant une intensité rarement vue dans la franchise, et l’univers ouvert de Techland regorge de secrets à découvrir.



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