[Chronique Manga] Erio and The Electric Doll

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La lutte entre l’humanité et les machines continue. Découvrez comment l’humanité a réussi à survivre sans électricité depuis un siècle dans le premier tome de Erio and The Electric Doll.

Présentation de l’ouvrage

Publié dans le Young Jump Comics, Erio & The Electric Doll est le nouveau bijou des éditions Shueisha scénarisé par Shimazaki Mujirushi et dessiné par Kuroimori. En France, le manga est édité chez Mangetsu. Le premier tome est disponible depuis le 30 avril et sur le site de l’éditeur au prix de 9,95 €. Deux autres tomes ont été annoncés avec un rythme de parution bi-mensuelle.

Un siècle plus tôt, une guerre meurtrière a éclaté entre les hommes et les IA, poussant l’humanité à renoncer à l’électricité pour mettre un terme aux combats.

Découvrez les aventures steampunk d’Ange, la toute dernière androïde d’élite en état de marche, et d’Erio, la jeune fille qu’elle a élevée, dans un monde désormais privé d’électricité.

Synopsis, Mangetsu

Chronique réalisée à partir d’une version presse fournie par l’éditeur que je remercie.

Tout débute dans un monde où l’essaim artificiel Metis s’est emparé des réseaux pour se démultiplier à l’infini et prendre le contrôle des infrastructures et des équipements de production humains les uns après les autres. La guerre a duré plus d’un siècle jusqu’au moment où la seule possibilité pour y mettre un terme était de couper l’électricité.

C’est dans ce monde que tentent de survivre Ange, une unité de combat désaffectée. Et Erio, une jeune fille capable de produire de l’électricité qui n’a jamais connu ses semblables. Après dix années passées coupées du reste du monde, notre duo décide de rejoindre la civilisation. Comment va se passer leur découverte du nouveau monde?

Ce que j’ai pensé de Erio and The Electric Doll

Très rapidement, nous découvrons le périple d’Ange et d’Erio prenant place dans un univers Steampunk où l’éclairage fonctionne au gaz. Tandis que les autres machines sont alimentées par des machines à vapeur. L’utilisation de l’électricité est prohibée par peur de déclencher une nouvelle guerre et le réveil des poupées électriques.

Vivant reclu près d’un phare, Erio s’est attaché à Ange qu’il voit comme une mère de substitution. Dénuée de sentiments, elle a parfois du mal à comprendre ses faits et gestes. Dont le fameux baiser du matin qui est une manière pour Erio de se décharger du surplus d’électricité qu’il produit naturellement.

On s’attache rapidement à nos deux protagonistes, tout comme celles et ceux qui croisent leur route. Mais quelques zones d’ombre persistent, comme l’implication exacte du général Strauss qui était le créateur d’Ange et de ses semblables. Mais aussi du gouvernement qui utiliserait en secret cette énergie interdite, mais qui pourtant fait l’objet de bien des convoitises…

En bref, ce premier tome de Erio and The Electric Doll annonce un récit très prometteur sur le long terme. Après avoir passé un bon moment dans ce monde alternatif. Il me tarde de retrouver nos héros dans la suite de leurs aventures qui est prévue pour cet été.

La légende raconte qu'il est apparu pour la première fois dans le rayon "horreur" du vidéoclub local. Grand amoureux du 7ème art , des survival horror et de la littérature sous toutes ses formes, sa plume est aussi aiguisée que le couteau de Michael Myers.

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