[Chronique Comics] The Unnamed : Redcoat

Temps de lecture estimé :1 Minutes, 50 Secondes

Découvrez une nouvelle série régulière signée Geoff Johns et Bryan Hitch dans l’univers partagé de The Unnamed : Recoat.

Présentation de l’ouvrage

Fraîchement débarqué chez Urban Comics, Redcoat est une nouvelle série prenant place dans l’univers The Unnamed. Elle est signée Geoff Johns (Green Lantern, Flash) et Bryan Hitch (The Authority). Ce premier tome suit les aventures de Simon Pure, un personnage irrévérencieux qui, au fil de son existence, croise des figures historiques majeures.

Simon Pure, un soldat déserteur de l’armée britannique lors de la Guerre d’Indépendance américaine, voit son destin bouleversé par un rituel magique auquel il n’aurait jamais dû assister. Devenu immortel malgré lui, il balade son arrogance et son inconséquence à travers les époques, s’attirant toujours plus d’ennuis et manquant à chaque fois de provoquer un paradoxe temporel majeur. Et si c’était possible, la vie éternelle de Pure prend un tournant inattendu lorsqu’il croise la route d’un jeune garçon de 13 ans nommé Albert Einstein…

Synopsis

Fiche technique :

  • Titre : The Unnamed : Redcoat
  • Série : Redcoat
  • Collection : Urban Indies
  • Scénariste : Geoff Johns
  • Dessinateur : Bryan Hitch
  • Traducteur : Edmond Tourriol
  • Contenu VO : Redcoat #1-7 + Tales of the Unnamed: The Blizzard
  • Pagination : 312 pages
  • Prix : 31 euro

Chronique réalisée à partir d’une version presse fournie par l’éditeur.

Mon avis

Tout comme les autres ouvrages de l’univers The Unnamed, Redcoat ne fait pas exception à la règle et peut parfaitement être lu comme un stand-alone. Traversant les siècles, Simon a tout de l’anti-héros par excellence. Il est voleur, menteur, tricheur,… Mais on parvient malgré tout à s’attacher à ce dernier. Étant au mauvais endroit au mauvais moment, il héritera malgré lui du don de l’immortalité. L’occasion de découvrir sous un autre angle ce protagoniste qui traverse les siècles, multipliant de ce fait les rencontres.

L’histoire de l’Amérique est ici revisitée, nous permettant de croiser la route de personnages connus dont Georges Washington, Albert Einstein alors âgé de treize ans. Mais aussi du Grand Architecte. Un antagoniste traquant Simon sans relâche à travers les âges, mais aussi bien décidé à réduire l’Amérique en cendres pour la refaçonner à son image.

Le récit reste prenant dans son ensemble et s’imbrique parfaitement à l’aspect graphique de l’ouvrage. J’ai eu un peu plus de mal avec la seconde partie : Blizzard. L’ensemble fait plus dans l’abstrait, ce qui ravira à coup sûr les amateurs du genre. Mais m’a un peu freiné pour ma part.

Conclusion

Une lecture en demi-teinte pour ma part. Malgré ses nombreuses qualités, Redcoat brille pour sa revisite historique et la richesse de son scénario pour le moins atypique. Mais retombe en seconde partie de lecture. Un ouvrage qui saura trouver son public, mais qui ne fera pas l’unanimité, contrairement à Geiger et Junkyard Joe que j’avais trouvés plus aboutis …

La légende raconte qu'il est apparu pour la première fois dans le rayon "horreur" du vidéoclub local. Grand amoureux du 7ème art , des survival horror et de la littérature sous toutes ses formes, sa plume est aussi aiguisée que le couteau de Michael Myers.

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