[Critique] Bestiale – une nouvelle création qui vaut le détour
A l’occasion de son arrivée sur ADN, nous avons pu découvrir Bestiale. Création de Studios Ankama Animations et Unagi. Voici notre critique après un visionnage qui nous a séduit.
Présentation de Bestiale
Bestiale s’inscrit dans le Krosmoz, l’univers foisonnant créé par Ankama. Se déroulant quelques années après la “Grande Vague”, un cataclysme qui marque la transition entre l’ère de Wakfu et celle de Waven. Une création originale bien plus sombre et qui opte pour un format ultra court ce qui peut surprendre. Mais de quoi ça parle?
Yrehn mène une vie paisible auprès d’Elante, une créature légendaire, ainsi que ses compagnons Aros, le grand aigle, et Ganos, le Sangliotaure. Leur équilibre est bouleversé lorsque Karn, un chasseur Iop redoutable, débarque sur leur île et capture Elante pour un destin incertain. Yrehn se lance alors dans une quête haletante pour sauver la créature et découvrir une réalité bien plus complexe qu’elle ne l’imaginait.
Synopsis
Fiche technique :
- Titre : BESTIALE
- Date de sortie : 21 février 2025
- Format : 7 épisodes de 12 minutes
- Production : Studios Ankama Animations et Unagi
Voix Françaises :
- Yrehn : Alice Orsat
- Nimoda : Victoria Grosbois
- Karn : Marc Arnaud
- Aros : François Dunoyer
- Ganos : Augustin Jacob
- Orbin : Cécile Gatto
- Naëlle : Marie Diot
Mon avis
Très rapidement, Bestiale parvient a nous plonger dans l’ambiance. On prend plaisir à découvrir Yrehn, qui semble très proche de cette mystérieuse créature : l’Elane. Tandis que Karn qui semble être le mal incarné veut à tout prix la capturer. Une lutte entre le bien et le mal mise en scène avec brio.
Cependant, le choix du format court laisse peu de place pour le développement de l’histoire et des différents protagonistes. L’histoire se déroule à une vitesse folle, et laisse bon nombre de questions sans réponses…






Malgré ce petit bémol qui n’est pas non plus dramatique, Bestiale marquera les esprits sur d’autres points. La mise en scène est extrêmement soignée, la bande-son ennivrante accompagne à merveille chaque épisode. On peut que rester admiratif face au travail artistique de l’équipe tout au long du visionnage.
Conclusion
Une fois la série achevée, Bestiale fascine et intrigue. On peut regretter les quelques zones d’ombre qui subsistent encore. Mais ce menu défaut est vite gommé dans la mesure où il s’agit je pense d’un prélude. Il nous tarde de voir ce que le studio Ankama nous réserve pour la suite. D’ici là, nous ne pouvons que vous recommander de foncer voir cette pépite qui est disponible sur ADN.
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