[TEST] Voidwrought : un metroidvania qui respecte les codes

Temps de lecture estimé :2 Minutes, 16 Secondes
  • Respecte les lignes d’un metroidvania
  • Univers et visuels captivants
  • Les combats de boss travaillés

Moins

  • La difficulté parfois mal équilibré

S’il y a bien un genre de jeu qui revient régulièrement cette année, c’est les métroidvania. Nous avons été gâtés sur ce genre de jeu intransigeant. Aujourd’hui, lumière sur Voidwrougt, un titre qui nous envoie dans un univers sombre, dont la méthode d’écriture cryptique va nous rappeler par exemple Hollow Knight. En y jouant, on sent l’inspiration, et c’est une très bonne chose.

Voidwrought

Un gameplay et une animation soignées

Qu’attendons-nous d’un metroidvania ? De l’exploration, des caches secrètes, des items, des powers up divers et variés ainsi que des boss possédant des bonnes mécaniques.

Voidwrought combien cela intelligemment et nous embarque dans un univers sombre, glacial même. Nous devrons explorer et découvrir une civilisation ancienne, à la recherche d’une cité perdue enfouie profondément sous terre. Chaque siècle a lieu un phénomène : l’Etoile Rouge. Les glaciers cessent d’exister et l’ichor scintillant jaillit des dieux Progéniteurs. C’est ainsi que notre aventure commence, nous naissons et commençons notre aventure de cette manière. Notre mission ? Récolter de l’ichor, sang des dieux, sur les différentes monstruosités qui en possèdent.

Après cette introduction, le lore sera à découvrir par vous-même. En effet, c’est en explorant que vous en apprendrez davantage sur le monde dans lequel vous êtes né et évolué.

Pour pouvoir avancer, il faudra explorer un maximum de recoins, casser des murs secrets, et faire évoluer votre personnage.

Comme indiqué plus haut, le code des metroidvania est respecté à la lettre : reliques, amélioration de santé, trouver de nouvelles capacités, mécaniques connues utilisées ici. Vous devrez tout au long de votre aventure trouver pas mal de choses vous permettant de survivre aux épreuves futures qui vous seront imposées. Autant les boss ne seront pas évident, les chemins pour y accéder et les phases d’exploration vous donneront également du fil à retordre. Des mobs possédant quelques patern à apprendre par cœur, des passages acrobatiques qui vous feront un peu rager, voilà ce qui vous attend.

Vous ne serez clairement pas dépaysé, et de ce fait, vous pourrez vous concentrer pleinement sur le jeu. Un passage difficile d’accès car il y a une fosse de piques ? Pas grave, faites comme d’habitude : des coups d’épées pour rebondir dessus. Classique n’est-ce pas ?

La où le jeu va pouvoir ce démarquer, c’est tant dans l’histoire, que dans ses boss. Dès le premier boss, on comprend qu’on va prendre des claques : boss à plusieurs phases, mécaniques différentes, difficulté plus ou moins élevée (en fonction de vos habitudes de jeux), mais pas impossible. Des défis à relever qui vous donneront l’envie de finir le jeu, et d’en savoir le mot de la fin.

La difficulté se fait sentir, et la courbe augmente d’un coup sec quand on arrive vers la fin, mais ce n’est pas grave : vous êtes des guerriers, prêt à en découdre avec les metroidvania.

Voidwrought : le mot de la fin

J’ai adoré le titre, les boss, les mécaniques qui sont familières. Le jeu ne révolutionne pas le genre, certes, mais qu’est-ce que ça fait du bien d’avoir un titre aux mécaniques familières qui est maitrisé. Le visuel est juste magnifique, les décors sombres sont intéressant à explorer et l’expérience du jeu est jouissif. Tuer des boss reste vraiment satisfaisant. Que voilà un jeu à faire et qui saura vous plaire.

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