[Test] Iron Meat : Un Contra bien rempli !
Un concentré de plaisir bourrin, pour tous les niveaux qui s’inspire des meilleurs
Plus
- Maniabilité au poil !
- Pixel-art joliment travaillé
- Fluide
- Fun
- Bourrin à crever
- Un challenge pour tous
Moins
- Pas de coop en ligne
- Le filtre vidéo rétro assez moche
Iron Meat est un titre fun malgré son aspect déjà joué, qui a pour lui son design trash et cool, mélange de métal et de chair que vous allez prendre plaisir à défoncer sur les 9 niveaux du jeu !
Dès les premiers moments de jeu, Iron Meat ne cache pas son inspiration : le gameplay, les armes, la façon de les acquérir : tout fait penser à Contra, alias Probotector dans nos contrées. Même dans son scénario ou des créatures dégueu envahissent la Terre, on y retrouve cet ADN. La différence vient de son univers, doté de graphismes en pixel-art vraiment cool, et de sa bande-son bien vénère aux relents de métal qui colle parfaitement à l’action et l’univers.
Doté de 9 niveaux et d’une durée de vie initiale de moins d’une heure pour torcher tout ça, il faudra revenir encore et encore dans l’un des trois modes de difficulté pour tenter de déverrouiller chacune des 30 skins, et y’a du boulot, regardez ci-dessous :

En débloquant ces skins vous pourrez personnaliser chacune des 4 partie du corps de votre héros avec un élément différent : tête, bras, corps et jambes. C’est juste visuel mais les résultats peuvent être marrants.
Niveau options vous avec un filtre visuel « retro » qui est assez vilain, mais il est possible d’activer également les musiques en mode rétro. A voir selon vos goûts, ici on a une préférence pour le côté original.
si le mode facile vous octroie 30 vies et se traverse relativement tranquillement, plus vous monterez plus votre propension à roter du sang grimpera aussi. Sa maniabilité étant impeccable, la perte d’une vie ne sera que de votre fait. Le level design est bien pensé, c’est surtout la mise en scène qui impressionne et fait qu’on ne décolle pas d’une partie facilement.

Iron Meat est jouable à deux, hélas en coop local, ce défaut lui ôte l’excellence à laquelle il aurait pu prétendre. Mais restons positifs, le titre offre de bons moments de jeu, avec parfois des clins d’oeil à pas mal de jeux ou films, notamment des boules de chair qui tombent des escaliers comme dans un beat’em up des Tortues Ninja, ou des ennemis qu’on imaginerait sans peine dans un Alien ou Terminator.
Au final Iron Meat est un titre fun malgré son aspect déjà joué, qui a pour lui son design trash et cool, mélange de métal et de chair que vous allez prendre plaisir à défoncer sur les 9 niveaux du jeu !

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